Mes premiers bocaux

Hello les ami(e)s,

ça y est, depuis le temps que je voulais m’y essayer, hier j’ai fait mes premiers bocaux stérilisés avec les haricots verts de mon jardin tout comme le faisaient nos grands-mères.

L’air de rien, nos mamies s’en donnaient du mal… ça n’a l’air de rien comme ça et ce n’est pas compliqué en soi, mais c’est un sacré boulot quand même.

Il faut commencer par bien nettoyer ses bocaux et leurs caoutchoucs (joints), gage de qualité et d’hygiène de vos conserves. Ensuite, il faut aller cueillir les légumes, ici en l’occurrence les haricots verts…(et ça vaut bien une séance de sport moi je vous le dis mdrrrrrrrrrrrrr). Une fois récoltés, il ne faut pas attendre pour s’en occuper. Plus les légumes sont fraîchement cueillis mieux c’est, bien entendu.

Là, c’est parti pour un bon moment de travail… il s’agit de bien laver les haricots, ensuite de les équeuter et d’ôter les fils s’ils en ont. Selon la quantité, vous en avez pour un bon bout de temps… L’étape suivante, une fois tous les haricots équeutés, c’est de les blanchir 5 minutes dans l’eau bouillante non salée. A savoir qu’il est aussi possible de ne pas les blanchir et de les mettre crus dans les bocaux. Chacun ses choix. Une fois blanchis, bien égoutter les haricots et les passer sous l’eau froide. Puis, commencer à les ranger verticalement dans les bocaux.

Faire bouillir de l’eau salée à environ 20g/litres et couvrir vos haricots jusqu’à à peu près 2 cm du bord du bocal (pour éviter de vous brûler si ça déborde quand vous fermerez vos bocaux).

Ebouillanter les joints des bocaux pour qu’ils deviennent plus souples afin de pouvoir les poser plus facilement sur les bocaux, puis fermer et procéder à la stérilisation.

Pour savoir combien de temps stériliser mes bocaux, je suis allée visiter le site des bocaux Le Parfait http://www.leparfait.fr/recettes. Leur site est génial et en plus il est plein de recettes.

Vu que j’ai des tonnes de courgettes, mes prochains bocaux seront des bocaux de velouté de courgettes. Il n’y aura plus qu’à les ouvrir et les faire réchauffer en hiver…. c’est cool, non?

La French touch

Me revoilà avec la suite de notre périple.

Après notre superbe semaine en Italie, bien trop courte à mon goût et à refaire, nous avons repris la route direction Marseille pour passer faire un coucou de 3 jours chez ma soeur.

Alors que nous avons eu un temps superbe toute la semaine, nous avons quitté Caorle sous un ciel menaçant et un temps lourd. Avant de repartir définitivement, nous avons fait une première halte chez un des petits producteurs locaux dont les étals fleurissent au bord de la route où nous avons acheté des fruits et légumes (pastèque, prunes, abricots, oignons rouges, tomates…) de sa propre production puis à San Donà di Piave pour faire quelques dernières courses (polenta blanche, articles de cuisine, biscuits, viande pour le bbq du soir chez ma soeur…).

Nous voilà partis à nouveau pour un minimum 8h de route, direction la Ligurie vers Gênes. C’était un dimanche et nous étions pratiquement seuls sur la route. Partis sous les nuages, la pluie et les orages, on retrouve très vite le ciel bleu et la chaleur qui va avec. La région et les paysages sont magnifiques.. de vastes plaines avec des champs de maïs, de tournesols ou des vignes, puis des collines et enfin, nous voyageons entre la mer et les collines. Nous passons Gênes, San Remo puis arrivons Vingtimille et passons enfin la frontière pour nous retrouver à Menton aux alentours de 16h30.

Là, d’un commun accord, on se décide de sortir de l’autoroute et d’aller faire un petit tour à Menton le temps de nous dérouiller les jambes en nous promenant un peu et de faire une petite pause café et manger une bonne glace rafraîchissante sur une terrasse au bord de la mer.

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Du peu que nous avons rapidement vu de Menton, c’est une ville magnifique où nous retournerons très certainement afin de la découvrir plus en profondeur, ainsi que Gênes et San Remo d’ailleurs que j’aurais bien voulu visiter aussi. Pas toujours facile de tout voir ou alors il faudrait faire une étape chaque jour et je ne vous dis pas le nombre de jours de congé qu’il faudrait prendre pour pouvoir prendre le temps…. vivement la retraite comme dis mon mari….

Il est maintenant temps de reprendre la route et de terminer notre périple vers Marseille où nous sommes attendus et où nous sommes arrivés après 20h30.

Comme d’habitude, quand on a peu de temps sur place, on va partout et nulle part à la fois et surtout on fait selon les emplois du temps de chacun. Une visite à Cassis comme à chaque fois, parce que j’adore, puis à St Cyr sur Mer et une excursion en bateau un soir vers les Iles du Frioul. Le temps passe toujours trop vite malheureusement.

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Une amie m’avait conseillé la brasserie de son frère, l’Océan, à Sausset-les-pins https://www.facebook.com/Loceansausset13/, que nous n’avons pas eu le temps de visiter cette fois-ci, mais qui n’est que partie remise lors de notre prochain passage dans la région.

Mercredi, il était déjà temps de repartir, cette fois, direction Lespignan https://fr.wikipedia.org/wiki/Lespignan dans le Languedoc-Roussillon pour aller faire un petit coucou jusqu’à samedi soir chez ma mère. Sur la route, j’avais proposé à mon mari de faire une petite halte aux Baux-de-Provence que je connaissais déjà mais pas lui, puis après cette étape, de nouveau de façon improvisée, nous avons fait une halte à Arles pour y visiter ses arènes et flâner dans ses rues. Encore une très belle région à traverser où l’on passe des rizières aux champs de tournesols, aux vignes, et où l’on croise dans la campagne des chevaux de camargues, les fameuses vachettes et taureaux de la région.

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Le temps de reprendre la route et de terminer notre itinéraire, le temps avait bien changé et avons fini notre périple sous un nouvel orage du tonnerre.

Le jeudi matin, un petit tour au marché le long de la plage de St Pierre la Mer s’imposait. Malheureusement pour nous , il y avait un tel vent à décorner les boeufs et de plus très frais, que la plupart des marchands n’étaient pas venus. Ceux présents avaient bien du mal à garder leurs étals sans que rien ne s’en envole à chaque bourrasque. Du coup, l’après-midi, nous sommes allés faire un petit tour à Béziers puis à Valras-Plage avant de rentrer en fin de journée.

Vendredi, l’Espagne étant à un jet de pierre, nous avions prévu une petite virée à Roses près d’Empuria Brava. Là aussi, après avoir flâné dans les rues piétonnes de la ville, déjeuner sur une terrasse au bord de la mer dans un restaurant super sympa, l’Estrop http://www.estrop.es/index.php?idioma=french, dont le patron produit sa propre huile d’olives et la propose sur ses tables avec ses olives en dégustation. Une T U E R I E !!!!! Je n’ai pas pu m’empêcher d’en rapporter une bouteille. Ensuite, le temps de repasser faire quelques courses (oui, encore des courses mdrrrrrrrrrrrrrrrrr) dans l’une des grandes surfaces où tous les français frontaliers viennent faire leurs courses en raison des prix nettement plus avantageux qu’en France, il était déjà temps de reprendre la route et de rentrer vers Lespignan.

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Déjà samedi et notre dernier jour dans la région avant de repartir le soir vers 20h puisque mon mari préférait reprendre la route de nuit plutôt que le dimanche matin. Nous voilà donc partis en visite jusqu’à Gruissan, là où se trouve les vignobles des Vins Pierre Richard http://www.vinspierrerichard.com/domaine, que je m’étais promise de visiter la prochaine fois que je serais de passage quelques jours chez ma mère. Après avoir découvert la région et surtout Gruissan, je le comprends très bien quand il dit que sa passion pour le vin a commencé par un paysage. On ne peut que tomber amoureux de cette belle région. Bien qu’une fois de plus le vent soufflait très fort, le Cers nous a-t-on dit sur place, nous avons pris le temps de parcourir les petites rues de Gruissan et de flâner sur son marché.

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Au détour d’une rue, j’ai repéré un Monsieur qui était présent avec quelques livres et m’en suis approchée. Il s’agissait de Monsieur Jean-Pierre GROTTI  http://www.aude-en-romans.fr/pages/biographie.php, écrivain romancier local qui dédicaçait certains de ses romans. Je n’ai bien entendu pas pu résister à lui acheter un de ses romans, Revoir Margot, dont la très belle histoire se déroule dans la région, et pour lequel j’ai eu droit à une jolie dédicace de sa part.

Il était déjà temps de remonter en voiture et de nous diriger vers les vignobles recherchés… c’était sans compter tomber à nouveau sur un nouvel endroit magnifique situé quelques (kilo)mètres avant notre but ultime, le salin de Gruissan http://www.lesalindegruissan.fr/ où une nouvelle halte et visite s’imposaient tellement c’était beau!

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Après avoir fait un tour du site et aussi de la boutique, cette fois nous arrivons enfin chez Monsieur Pierre Richard, sur son domaine Château Bel Evêque où nous avons pu déguster ses vins en compagnie d’autres touristes et amateurs de bons vins arrivés en même temps que nous sur place.

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Et voilà, nos vacances arrivent à leur fin… c’est la tête remplie d’images, d’odeurs et de bons moments passés que nous reprenons la route vers notre Nord-Est presque natal et qu’on se demande déjà quand est-ce qu’on reviendra…

Au revoir Lespignan et le Sud de la France…

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J’espère n’avoir pas été trop longue et que vous aurez réussi à aller jusqu’au bout de ce nouvel article. Comme toujours, n’hésitez pas à me faire part de vos commentaires ou de vos questions.

A très bientôt pour de nouvelles histoires et recettes.

La Dolce Vita

Hello les ami(e)s qui me suivez ici et sur ma page Facebook.

Comme vous avez pu le constater, ça fait un moment que je n’ai pas eu l’occasion de publier un article ou une recette sur mon blog.

On va dire que c’était pour la bonne cause vu que j’étais partie en vacances…

Fin mai, mon mari m’a dit : « on a besoin de vacances, allez on part deux semaines… une semaine en Italie comme l’année dernière (il sait que j’adore mon pays d’origine lointaine) et après on repasse chez ta sœur et ta mère quelques jours ».

Vous pensez bien qu’il n’a pas eu besoin de me le répéter deux fois… à peine c’était dit que je recherchais déjà les hôtels pour l’Italie.

La destination finale en Italie était comme l’an dernier, Caorle, la ville où j’ai passé toutes mes vacances d’été en famille quand j’étais enfant jusqu’à mon adulescence.

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Caorle qui se situe à une bonne trentaine de kilomètres de Venise est surnommée la Perle de l’Adriatique ou encore la petite Venise en raison de ses maisons colorées de style vénitien.

En effet, à l’origine, Caorle était un village de pêcheurs dont les casonis (maisons de pêcheurs), construites en cannes marécageuses se trouvent au bord de la lagune et constituent un témoignage de l’architecture de l’époque.

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Dans le centre historique de la ville, de style vénitien, se trouve la cathédrale romane dédiée à San Stefano, érigée au XIème siècle, son campanile cylindrique, d’une hauteur de 40m penche un peu comme la tour de Pise mais pas autant.

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Après de multiples invasions au cours de son histoire, Caorle, au XIXème siècle, comme toute la Vénétie, passa sous l’Empire d’Autriche et il faudra attendre les années 1970 pour voir la ville reprendre son essor et se développer à nouveau grâce au tourisme. Les choses n’ont pourtant pas beaucoup changé car les autrichiens, eux, sont toujours là et envahissent à nouveau la ville, les plages et la région chaque été.

Avant d’arriver à Caorle, vu que nous aimons prendre notre temps (et oui, on est en vacances ou on ne l’est pas…) et aussi parce qu’on a plus 20 ans, j’ai organisé notre migration vers l’Italie en deux jours.

En 2016, nous avions fait une étape au lac de Côme. Cette année, pour changer, je me suis dit pourquoi pas le lac de Garde, un autre des grands lacs italiens. Au départ, je recherchais un hôtel sur Sirmione, mais hélas tous ceux qui m’intéressaient étaient full à la date choisie, je me suis donc rabattue sur Limone sul Garda où j’ai trouvé un petit hôtel très sympa et bien situé, l’Hôtel Saturno*** Superior https://montagnoligroup.it/ qui disposait d’une piscine, d’un centre de bien-être (sauna, bain turc, jacuzzi, massages…), d’un parking et de toutes les commodités nécessaires pour passer une bonne nuit et repartir en forme dès le lendemain matin après le petit-déjeuner pris sur place avant de quitter l’hôtel.

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Là aussi, vu qu’il nous restait en gros 3h de route pour atteindre Caorle, nous avons bien pris notre temps en longeant les bords du lac et en faisant halte à Tignale, Gargnano, Toscolano Madero, Gardone Riviera pour prendre de magnifiques photos et surtout en prendre plein la vue tellement la région et les paysages sont magnifiques. L’idéal, serait de le refaire en décapotable, foulard sur la tête ou cheveux au vent, lunettes de soleil sur le nez, dans une belle voiture rouge… c’est beau de rêver…

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Sirmione était mieux situé par rapport à notre itinéraire, car proche de la sortie de l’autoroute, mais je ne regrette pas d’avoir fait ce détour d’une soixantaine de kilomètres quand même pour atteindre Limone sul Garda et y passer la nuit.

Après cette halte au lac de Garde, nous voilà donc repartis direction Caorle où nous avons passé une semaine super détente au départ juste avec le petit déjeuner puis en demi-pension pour 10 euros de plus par personne les deux derniers jours dans un très bel hôtel, le Park Hotel Pineta **** http://www.parkhotelpineta.it/  face à la mer et proche de l’hôtel le Janeiro*** que nous avions réservé l’année dernière mais qui était lui aussi complet sur la période que nous avions choisie.

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Il faut savoir qu’en Italie, il est encore possible de manger à deux, au restaurant, pour 26 euros si vous choisissez des plats de base tels que les pizzas, les pâtes… Si vous voulez manger un fritto misto (friture de poissons mixtes) ou des grillades avec de la polenta (coste e salsice con polenta) il faut compter 40 euros à deux boissons et cafés compris. Il est aussi possible de boire un bon Spritz en apéritif à 3,50 euros alors qu’à Rome il approche souvent les 15 euros et que dans le Sud de la France, le moins cher que j’ai vu était à 7,50 euros. Pour les glaces idem, vous pouvez manger une bonne glace (2 boules) pour 2,50 euros quel que soit le parfum.

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C’est pas ça la Dolce Vita ?

Avant de repartir, il ne nous restait plus qu’à faire le plein de bonnes choses à rapporter pour la famille et les amis…. Fromage de laiterie, sopressa et autres saucissons italiens, dolce, grappa et autres spécialités, de bons abricots de la région, des oignons longs rouges pour la cuisine, de la polenta blanche (qu’on ne trouve qu’en Vénétie), etc

Pour rejoindre Marseille, chez ma sœur, nous avons retraversé l’Italie dans l’autre sens, direction Gênes, Vingtimille, puis Menton, Nice et enfin Marseille. C’était un dimanche, il y avait peu de circulation (surtout aucun camion) et sans compter nos différents arrêts pipi et plein d’essence, plus notre halte pause café et dégustation d’une bonne glace au bord de la mer à Menton, il faut à peu près 8h pour faire la route de Caorle à Marseille.

Je pense que vous avez déjà pas mal de lecture avec ce premier article et j’espère que les photos vous ont plu. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires ou questions si vous en avez.

La deuxième semaine de notre périple fera l’objet d’un nouvel article.

I grissini

Dans quelques jours, je m’échappe une semaine en Italie avec mon petit mari et on remonte la semaine suivante en passant par la Provence, le temps d’aller faire un coucou de quelques jours chez ma soeur, puis chez ma maman.

J’ai hâte d’y être… Je sens déjà les bonnes odeurs de la cuisine italienne, je vois déjà les beaux fruits, les beaux légumes bien goûteux… Ahhhh que c’est bon de rêver… Cependant, même s’il faut avouer qu’en ce moment on bénéficie d’une météo fantastique pour une fin mai, début juin, il faut se rendre à l’évidence.. je suis encore loin d’y être, il va me falloir encre un peu de patience.

Du coup, comme je suis toujours à la recherche de nouvelles recettes à tester, j’ai vu passer une recette de grissini. Qui ne connaît pas les grissini? Ces fines baguettes en sachets qu’on retrouve sur toutes les tables des restaurants en Italie, craquantes, croustillantes… On peut aussi les voir présentées entourées d’un bon jambon cru ou cuit à l’apéritif par exemple. Mon fils, lui, les « trempe » dans le Nutella (beurk mdrrrrrrrr). Après tout, chacun ses goûts, l’essentiel étant de se faire plaisir.

Donc, après avoir vérifié que j’avais bien tous les ingrédients nécessaires, je me suis mise à essayer de faire les fameux grissini. Un jeu d’enfant… si, si, je vous assure.

Voici ce qu’il vous faudra pour en faire une bonne trentaine, sinon plus, selon la longueur que vous leur donnerez au façonnage.

Ingrédients

320g d’eau tiède
12g de sel
60g d’huile d’olive extra vierge
4g de sucre
560g de farine 0 (à défaut,j’ai utilisé de la T45)
20g de levure de bière fraîche ou 7g de levure de boulanger sèche

Pour la finition
un peu de semoule fine ou de farine de riz

Réalisation

La pâte peut se faire au robot ou à la main. Comme j’adore mettre la main à la pâte, je l’ai faite à la main.

Diluer la levure dans l’eau tiède.

Ajouter l’huile d’olive, le sucre et la moitié de la farine puis commencer à mélanger dans un premier temps avec une maryse pour incorporer tous les ingrédients et jusqu’à obtention d’une pâte crêmeuse.

Ajouter le sel et le reste de la farine petit à petit pour incorporer de l’air dans la pâte. Quand vous n’arrivez plus à mélanger avec la maryse, utilisez vos mains et pétrissez la pâte au moins 15 minutes jusqu’à obtenir un joli pâton bien lisse et légèrement élastique.

Former une belle boule et la saupoudrer de farine, puis la couvrir d’un film alimentaire au contact pour empêcher l’air de sécher la pâte. Couvrir avec un torchon et laisser reposer à température ambiante pendant 20 minutes.

Au bout des 20 minutes, reprendre la pâte et la dégazer. C’est-à-dire, aplatissez-là avec vos mains en prenant soin de bien chasser les bulles d’air dues à la fermentation. De cette façon, vous allez obtenir un beau rectangle long.

Une fois la pâte bien aplatie en forme de rectangle, la rouler sur elle-même, en formant un boudin rectangulaire d’à près 8 cm de large et +/- 40 cm de long.

Reprendre du film alimentaire, deux fois plus long que la taille de votre boudin de pâte et le déposer sur votre plan de travail, ou votre table. L’enduire d’huile d’olive avec un pinceau et venir y déposer votre pâton au centre. L’enduire lui aussi d’huile d’olive puis bien l’emballer dans le film alimentaire pour maintenir la pâte à l’humidité afin qu’elle ne « croûte » pas. Recouvrir avec un torchon et laisser à nouveau reposer au moins 1 heure.

Au bout d’une heure, préchauffer le four à 230° et mettes-y un bol d’eau bouillante afin d’apporter de l’humidité dans votre four.

Mettre un peu de semoule fine ou de farine de riz dans un bol. Déballer le pâton et détailler des petits boudins d’un bon gros centimètre. Les passer dans la semoule ou la farine de riz et les étirer avec les mains à partir de 4-5 cm du centre jusqu’à ce qu’ils atteignent la longueur de votre plaque de cuisson.

D’ailleurs, l’idéal est de pouvoir les cuire sur des plaques perforées afin que la cuisson soit bien homogène. A défaut, utilisez une plaque normale recouverte de papier sulfurisé.

Etirez-les et déposez-les un par un sur votre plaque de cuisson.

Retirez le bol d’eau bouillante de votre four et enfournez vos grissini à 230° entre 8 à 12 minutes selon votre four. A peu près à mi-cuisson, ouvrez quelques instants la porte de votre four pour en faire sortir la vapeur. Avec l’expérience, vous finirez par trouver le temps optimal pour la cuisson de vos grissini dans votre four.

J’espère que vous n’allez pas prendre peur en raison de la longueur de la recette et des explications. Je vous assure, c’est très simple à réaliser et vous serez vraiment satisfait(e)s du résultat et donc fièr(e)s de vous.

Si vous avez des questions, surtout n’hésitez pas à me les poser. Je suis là pour ça.

Flan de ratatouille crumble parmesan

Toujours sur le thème du beau temps… quand le soleil brille, on adore sortir le BBQ et faire des grillades.

Pour changer un peu des accompagnements habituels, je vous propose ici quelque chose de très facile et également rapide à faire et qui épatera vos convives ou votre famille.

Vous pourrez dresser ces petits flans autant avec vos viandes grillées qu’avec du poisson. La dernière fois que j’en ai fait, tout le monde à table se regardait pour deviner qui allait prendre le dernier… du coup, personne n’a osé, mais je vous rassure, il n’a pas été perdu pour tout le monde car je lui ai fait sa fête au repas suivant où j’étais seule à la maison. Du coup je n’ai pas eu à me battre contre quiconque pour le manger mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

Une fois de plus, j’utilise le moule 12 « briochettes » de chez Demarle. Si vous ne l’avez pas, vous pouvez par exemple utiliser des moules à muffins en silicone si possible.

Ingrédients pour 12 flans

1kg de ratatouille en bocal (ou de votre propre ratatouille maison comme je fais)
2 oeufs
100g de crème fraîche liquide
6 carrés frais type St Moret

Ingrédients pour le crumble

80g de de farine
60g de parmesan
60g de beurre froid coupé en dés

Préparez vos moules (empreintes) et préchauffez le four à 180°

Dans un cul de poule, fouettez ensemble les oeufs et la crème fraîche. Ajoutez la ratatouille et mélangez à l’aide d’une maryse (spatule).

Garnissez dans un premier temps la moitié de vos empreintes avec votre préparation et déposez un demi carré de St Moret au milieu, puis recouvrez chaque empreinte avec le reste de ratatouille jusqu’à ras bord.

Lavez votre cul de poule et réutilisez-le pour préparer votre crumble.

Mélangez-y à la main, le beurre en cubes, la farine et le parmesan jusqu’à obtenir un sable grossier.

Parsemez-en tous vos petits flans puis enfournez entre 30 et 35 minutes (selon votre four).

A la sortie du four, laissez reposer quelques minutes et démoulez.

Ces petits flans se dégustent chauds. Vous pouvez les préparer à l’avance, les laisser dans les empreintes et les repasser au four au moment de vous mettre à table quand votre mari a terminé de faire griller vos viandes ou poissons.

Bonne régalade!

Tarte au fromage blanc (sans pâte)

Aujourd’hui, j’avais envie de tester une recette que j’ai vue passer sur la page FB J’aime la Normandie https://www.facebook.com/LaNormandieETsonHistoire/

J’ai donc réalisé leur recette de tarte au fromage blanc à laquelle j’ai apporté ma petite patte personnelle en y ajoutant de l’arôme de vanille qui n’était pas proposé dans la recette initiale.

La particularité de cette tarte c’est qu’il n’est pas nécessaire d’utiliser une pâte à tarte. Le top si on a pas de pâte à tarte dans son frigo ou si on a pas le temps ou l’envie d’en faire une rapidement, rien ne nous empêche de réaliser cette tarte, vite fait, bien fait.

Donc, pour un gâteau ou tarte sans pâte, voici ce qu’il vous faut :

Ingrédients

500g de fromage blanc
100g de sucre
100g de farine
4 oeufs
arôme vanille

Maintenant, vous allez voir, c’est ultra simple.

Préchauffez votre four à 200°

Si vous n’avez pas de moule en silicone (perso, je suis adepte des moules de chez Demarle que l’on utilise sans matière grasse et qui ne collent jamais), utilisez un moule à manqué (moule à tarte avec bords hauts) et beurrez-le généreusement.

Ensuite, cassez les 4 oeufs en prenant soin de séparer les blancs des jaunes.

Mélangez les jaunes et le sucre, ajoutez le fromage blanc, une cuillère à café d’arôme vanille puis la farine et mélangez jusqu’à obtention d’une belle consistance homogène.

Il ne vous reste plus qu’à battre les blancs en neige et à les incorporer dans la première préparation.

Versez la pâte dans votre moule et enfournez pendant 25 à 30 minutes (selon votre four) à 200° en prenant toujours soin de vérifier la cuisson afin d’éviter que votre gâteau ne brûle.

Attendre que la tarte refroidisse un peu avant de la démouler, puis la placer au réfrigérateur.

Accompagnée de fraises sucrée, miaaaaaammmmmmm. Esssayez, vous verrez.

 

Taboulé fraîcheur

Aujourd’hui, il fait encore très chaud, ce qui est étonnant d’ailleurs pour un mois de mai dans nos contrées du Nord Est…

Comme vous le savez, quand il fait chaud, on a pas vraiment d’appétit, on recherche plutôt la fraîcheur.

J’ai donc jeté un oeil dans mon frigo pour voir ce qui s’y trouvait et ce que je pouvais faire avec… du concombre, des tomates, du poivron… et je me suis dis : tiens, et si je faisais un bon taboulé rafraîchissant?

Ce qui fut dit, fut donc fait… et je vous propose ici ma recette complètement improvisée et surtout rapide et simple.

Ingrédients pour 4 personnes :

2 sachets de graines de couscous (j’ai utilisé la marque Typiak cuisson rapide 1m30)
le jus d’un citron
un peu d’huile d’olives
1 poivron (j’ai utilisé un poivron rouge)
1 petit concombre
2 belles tomates
1 oignon rouge
du persil
de la ciboulette

Faire cuire la graine de couscous comme indiqué sur le paquet.

Une fois cuite, l’égoutter, et la disposer dans un plat puis arroser avec le jus d’un citron et un peu d’huile d’olives et bien mélanger.

Eplucher le concombre, le poivron, les détailler en fines lamelles et les découper en tous petits cubes et réserver.

Eplucher les tomates, les épépiner, ne garder que la chaire et la détailler elle aussi en petits cubes et réserver.

Ciseler l’oignon rouge finement, le persil, la ciboulette et réserver.

Enfin, ajouter le tout à la graine de couscous qui aura refroidi entretemps, bien mélanger et placer au moins une heure au frigidaire avant de le déguster.

 

Vous aurez noté que dans cette recette je n’ai pas mentionné d’ajouter de sel, de poivre ou autre car à part le gros sel utilisé pour la cuisson de la graine de couscous, je n’ai mis aucune épice dans mon taboulé. Une bonne huile d’olives bien parfumée et le jus de citron, l’oignon rouge sont largement suffisants pour relever ce plat.

Cependant, si vous le jugez nécessaire, n’hésitez pas à ajuster l’assaisonnement à votre goût après avoir goûté votre plat.

Bon appétit

 

 

LucienSchweitzer, Malle W. Trousseau….

La semaine dernière, j’ai eu l’opportunité de découvrir une très belle boutique située au n° 16 de l’Avenue de la Liberté à Luxembourg.

La boutique LucienSchweitzer 16a, Avenue de la Liberté 

 

http://www.lucienschweitzer.lu/boutiques-showroom-schweitzer

Une vraie caverne dAli Baba où vous ne savez pas où donner de la tête tellement tout ce que vous y trouvez attire l’oeil surtout si vous aimez ce qui est beau et de qualité.

 

 

De la décoration intérieure, aux meubles, aux luminaires, aux arts de la table… leur showroom vous en mettra plein les yeux et leurs conseillères répondront à toutes vos questions ou sollicitations dans plusieurs langues.

En tant que passionnée de cuisine et de pâtisserie, mon attention a été particulièrement attirée par un produit que je n’ai jamais vu ailleurs… une malle immense contenant tout un tas d’ustensiles de grande qualité pour bien cuisiner. Une idée cadeau géniale et plus qu’originale à offrir pour un mariage par exemple, un vrai trousseau… d’où son nom, la malle trousseau.

Qu’est-ce que j’aurais aimé recevoir ça quand je me suis mariée ! Quoi que à l’époque, comme vous le savez déjà, je n’avais quasiment jamais touché une casserole et mes connaissances en cuisine étaient plus que rudimentaires… aïe, aïe, aïe… mais avec un tel cadeau, il m’aurait été impossible de ne pas me mettre tout de suite à la bonne cuisine!

L’air de rien, pour bien cuisiner, il faut être un minimum équipée et avoir les bons ustensiles parce que tout comme on ne fait pas d’omelette sans casser d’oeufs, on ne fait pas de bonne cuisine sans bonnes marmites, sans bons couteaux et on a du mal à dresser une belle table sans avoir une belle vaisselle.

D’ailleurs, je me suis promis d’y retourner très prochainement car l’une de leur collection de vaisselle (Paola Navone) m’a fait un appel du pied et bien tapé dans l’oeil.

ART DE LA TABLE

Blanche, complètement épurée, c’est tout ce que j’aime et en plus ça vient d’Italie, je ne peux donc pas résister!

Joli non pour un café gourmand? J’imagine déjà la sous-tasse garnie de mini madeleines, de crumchies ou autres gourmandises… Pas vous?

 

 

En tous cas, si vous n’avez pas l’occasion de pouvoir vous rendre sur place, je vous laisse regarder les quelques photos ci-dessous que j’ai pu prendre pour les partager avec vous et espère qu’elles vous plairont autant que ça m’a plu.

 

L’Eau désaltérante

Les beaux jours arrivent, il fait chaud et il va faire encore plus chaud dans les prochains jours.

Souvent on ne sait pas quoi boire pour se désaltérer et on s’oriente malheureusement vers toutes sortes de sodas sucrés pas très bons pour notre santé hélas…

Je vous propose ici une solution de remplacement très simple et goûteuse qui j’en suis sure vous ravira.

Il vous suffit d’avoir chez vous des citrons, des feuilles de menthe et de l’eau pétillante.

 

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Détaillez vos citrons en tranches. J’aime bien utiliser du citron jaune et du citron vert.

Lavez vos feuilles de menthe.

Prenez un contenant (bouteille, cruche… peu importe) et placez vos tranches de citron et les feuilles de menthe dedans et ajoutez l’eau pétillante.

Placez le tout au frigo pendant quelques heures, le temps de laisser infuser le citron et la menthe qui vont parfumer l’eau délicatement.

Ensuite, il ne vous reste plus qu’à la boire sans modération, jusqu’à plus soif.

Blog Award 2017 – Kachen Luxembourg Food and Lifestyle Magazine

 

Grâce à mon blog, j’ai la chance de pouvoir participer au Blog Award 2017 organisé par le magazine Kachen Luxembourg Food and Lifestyle magazine

En tout, 46 bloggeurs et bloggeuses participent au blog award :
25 blogs dans la catégorie FOOD et 21 blogs dans la catégorie LIFESTYLE.
Vous retrouverez et pourrez aussi découvrir les blogs participants sur http://www.blogaward.lu

Le vote du public est déjà ouvert – http://blogaward.lu/fr/vote-public/ et vous avez jusqu’au 30 septembre 2017 pour voter pour les blogs qui vous plaisent.

Je compte donc sur vous pour aller vite voter pour mon blog, en suivant le lien ci-dessus, mais aussi pour le faire savoir à vos ami(e)s afin qu’elles(ils) puissent aussi aller voter pour leurs blogs préférés.

Cette semaine, vu que j’ai enfin récupéré mon pc que mon fils avait kidnappé pour les besoins de ses examens de fin d’études, je vais vous publier plusieurs nouvelles recettes salées et sucrées qui j’en suis sure vont beaucoup vous plaire car simples et excellentes.

Je vous dis alors à très bientôt et vous remercie d’avance pour tous les votes que mon blog va recevoir grâce à vous et à vos partages.

A très vite !