Noël et ses traditions

Bonjour tout le monde,

voilà, les festivités de Noël sont derrière nous… dire qu’on s’y prépare des semaines à l’avance et qu’elles passent si vite…

D’ailleurs, comme vous avez pu le remarquer (enfin je l’espère mdrrrrrrr) j’ai été plutôt absente ces derniers temps à cause de toutes ces préparations.

Entre les ateliers bûches pour les ami(e)s que j’ai mis en place à la maison, les tonnes de petits biscuits sablés à réaliser, les bûches qu’on m’a demandées, j’ai été pas mal accaparée.

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D’ailleurs, à propos de la bûche de Noël, savez-vous qu’il faut remonter jusqu’au Moyen-Age pour en trouver ses origines?

Un pâtissier m’a raconté qu’à l’époque, la coutume voulait que la veille de Noël, on aille chercher une énorme bûche que la maître de maison plaçait dans l’âtre. Il récitait alors des prières de circonstance tout en arrosant le tronc d’huile, de sel et de vin cuit. Le feu de bois était destiné à remercier le soleil, tellement vital en hiver.

Dans certaines régions, on plaçait autant de bûches dans l’âtre que de personnes habitant le foyer. Selon les croyances de l’époque, elles devaient se consumer toute la soirée, sans que le feu ne s’éteigne sous peine que des malheurs arrivent toute l’année.

Dans certaines familles, la bûche (de Noël) était allumée par les jeunes filles de la maison avec les tisons de celle de l’année précédente qu’on avait pris soin de conserver bien précieusement, alors que dans d’autres familles, ce « privilège » revenait plutôt à la mère.

Il paraît que les cendres de cette bûche avaient la propriété de protéger la maison de la foudre, de la maladie et des accidents. Elles éloignaient les renards, faisaient fructifier les récoltes… La tradition voulait aussi que la bûche soit offerte et surtout pas vendue!

Cette coutume, remontant au XIIème siècle, existait dans la plupart des pays européens, notamment en France et en Italie, où la bûche de Noël était appelée « ceppo ».

Au Québec comme en France, cette tradition aurait perduré jusqu’au dernier quart du XIXème siècle. La disparition de cette tradition coïncide avec celle des grands âtres, remplacés progressivement par des poêles en fonte.

La grosse bûche fut alors remplacée par une petite bûche de bois, parfois rehaussée de chandelles et de verdure, qu’on plaçait au centre de la table comme décoration de Noël.

Aujourd’hui, la bûche de Noël est devenue une pâtisserie traditionnelle, glacée de crème au café ou au chocolat et décorée avec de petits objets en plastique ou comestibles, représentant des éléments de Noël comme un père Noël, du houx, une scie, un sapin, une rose, un nain de jardin, un champignon ou même des bougies miniatures.

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1ère édition des Sapins de Noël des Créateurs à Luxembourg

Hello mes chers « followers »,

comme promis, il faut absolument que je vous raconte la fabuleuse soirée à laquelle j’ai eu le privilège d’assister grâce à Steffen Traiteur?

Vendredi 15 décembre, j’ai eu l’immense honneur de pouvoir participer à la 22ème édition, mais 1ère édition à Luxembourg, des Sapins de Noël des Créateurs.

Hormis sur ma page Facebook ou dans mon dernier article, avez-vous déjà entendu parler de cet événement?

Pour faire court, il s’agit d’un dîner de charité précédé d’une vente aux enchères d’oeuvres uniques créées pour l’occasion par de grands créateurs sur le thème de Noël.

Créée et présidée par Madame Marie-Christiane Marek – journaliste de mode et productrice d’émissions, – l’association « Les Sapins de Noël des Créateurs » expose des oeuvres originales de grands noms de la mode, du design et des arts plastiques, vendues ensuite au profit d’oeuvres caritatives.

Le 6 décembre, un vernissage presse a eu lieu à l’hôtel Le Place d’Armes en présence de Jean Paul Gaultier et, le 15 décembre dernier, j’ai pu prendre part à la soirée de Gala au Cercle Cité à Luxembourg au cours de laquelle une vente aux enchères dirigée par Maître Rémy le Fur, avec le soutien de Stéphane Bern, au profit de la Fondation Cancer Luxembourg a été organisée, suivie du Charity Dinner en présence des créateurs :

Ali Mahdavi
Anne-Marie Herckes
Carine Mertes
Christian Ghion
Christian Louboutin
Ezri Kahn Couture
Francis Kurkdjian
Jean-Claude Jitrois
Jean Paul Gaultier
Lesage par Hubert Barrière
Marc-Antoine Coulon
Mathilde de l’Ecotais
Princesse Hermine de Clermont Tonnerre
Reza Kianpour
Ruben Alterio
Rupert Shrive

Quelques-unes des créations vendues aux enchères

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L’intégralité des fonds récoltés au cours de la soirée par la Fondation Cancer Luxembourg sont dédiés à la recherche contre le cancer pour un projet de recherche commun franco-luxembourgeois.

C’est le département M.I.C.E. (Meetings, Incentives, Conferences & Events) de Voyages Emile Weber qui a été désigné pour l’organisation de cette grande première à Luxembourg.

Le Cocktail précédant et suivant la vente aux enchères était quant à lui offert et signé par Steffen Traiteur qui, comme à son habitude, a mis tout en oeuvre pour que tout se déroule de la meilleure des façons afin de satisfaire les nombreux convives présents lors de cette soirée d’exception.

De la magnifique décoration sur le thème de Noël de la salle de cocktail, aux divers ateliers proposés aux convives ainsi qu’au défilé de cuillères apéritives plus appétissantes les unes que les autres, de mignardises, de bouchées salées jusqu’au boissons proposées et servies, tout était parfait et réglé comme du papier à musique.

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Le dîner quant à lui était concocté par des grands Chefs Euro-Toques et j’ai eu la chance de pouvoir déguster :

« Le Turbot »
Le turbot de ligne en crudo vinaigrette thaï et ses accessoires
par Etienne-Jean Labarrère-Claverie, Chef au Restaurant Cibo’s à Bettembourg et Mathieu Morvan, Second de cuisine au restaurant la Cristallerie à Luxembourg

« Le Sarrasin »
Le biscuit de sarrasin soufflé, duxelle truffe, sot l’y laisse, sauce poulette et tapioca
par Cyril Molard, Chef au restaurant Ma langue sourit à Moutfort et Patrice Osswald, Second de cuisine au restaurant Clairefontaine à Luxembourg

 

« L’Omble Chevalier »
Le nougat d’omble chevalier, velours carotte cardamome, jus d’arêtes et atsina cress
par Renato Favaro, Chef au restaurant Favaro à Esch sur ALzette et Thomas Murer Chef de cuisine au restaurant Aal Schoul à Hobscheid

« La Volaille de Bresse de chez Mieral »
La volaille en deux cuissons, différents légumes de saisons en défilé
par Etienne-Jean Labarrère-Claverie, Chef au Restaurant Cibo’s à Bettembourg et Mathieu Moran, Second de cuisine au restaurant la Cristallerie à Luxembourg

« Détente parfumée »
Les saveurs d’un parfum de Jean Paul Gaultier
par René Mathieu, Chef au restaurant La Distellerie à Bourglinster et Arnaud Deparis, Chef au restaurant le Cube à Bertrange

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J’en profite pour remercier Monsieur Frank Steffen et ses équipes, dont Julie Merhi, leur Chargée de Communication, sans qui je n’aurais jamais eu le bonheur et l’immense privilège de pouvoir participer à cette soirée incroyable et merveilleuse à tous points de vue.

 

Le Sapin de Noël des créateurs

Chaque année, depuis 22 ans, au moment des fêtes, des signatures reconnues de la mode, du design, voire de l’architecture, offrent leur talent pour réinterpréter le sapin de Noël. Parmi les nombreux grands noms qui ont déjà participé, on retrouve des personnalités telles que Jean-Paul Gaultier, Chantal Thomass, Chanel, Dior, Sonia Rykiel ou encore Louis Vuitton.

Ce vendredi, 15 décembre 2017, grâce à Steffen Traiteur https://steffentraiteur.lu/fr/, j’ai l’immense honneur de pouvoir participer à la 1ère édition au Luxembourg du Dîner de Gala du Sapin de Noël des créateurs au profit de la Fondation Cancer.

Ce dîner, modéré par Stéphane Bern, sera orchestré par Steffen Traiteur (retrouvez-les sur Instagram et Facebook) et par les plus grands Chefs étoilés de l’association « Euro Toqués ».

Maître Rémy Le Fur dirigera ensuite la vente aux enchères d’articles créés pour l’occasion par les plus grands créateurs internationaux et luxembourgeois actuels au profit de la recherche contre le cancer sous le haut-patronage de Son Altesse Royale La Grande Duchesse de Luxembourg avec la présence de Docteur Carlo Bock, Président de Fondation Cancer Luxembourg

Voici la liste des créateurs et ici leurs créations -> http://lessapinsdenoeldescreateurs-luxembourg.lu/les-creations.html#type_7364:

ALI MAHDAVI
ANNE-MARIE HERCKES
CARINE MERTES
CHRISTIAN GHION
CHRISTIAN LOUBOUTIN
EZRI KAHN COUTURE
FRANCIS KURKDJIAN
JEAN-CLAUDE JITROIS
JEAN PAUL GAULTIER
LESAGE PAR HUBERT BARRÈRE
MARC-ANTOINE COULON
MATHILDE DE L’ECOTAIS
PRINCESSE DE CLERMONT TONNERRE
REZA KIANPOUR
RUBEN ALTERIO
RUPERT SHRIVE

Comme vous pouvez vous en douter, je suis plus que ravie d’avoir la chance de pouvoir participer à un tel événement et ne manquerai pas de prendre plein de photos et de vous raconter tout cela plus en détail dans un prochain article.

Alors, restez connectés pour voir et en savoir plus.

 

 

Mannalas, Mannele ou encore BoxMenchen

Mannalas ou Mannele, selon que l’on soit dans le Haut-Rhin ou le Bas-Rhin et la Moselle, ou encore BoxMenchen au Luxembourg, traditionnellement réalisés pour la Saint-Nicolas, les petits pains au lait en forme de petits bonhommes font autant plaisir aux petits qu’aux grands quand l’heure du goûter arrive.

Ces petits bonhommes tous moelleux peuvent accompagner le chocolat chaud du goûter des enfants ou faire l’objet d’un goûter familial ou entre ami(e)s autour d’un bon bol de café ou d’une tasse de thé.

On peut très bien les enrichir de raisins secs ou encore de pépites de chocolat pour les rendre encore plus gourmands.

Aujourd’hui, je vous donne la recette pour que vous puissiez les préparer chez vous.

Ingrédients

600g de farine (T55)
1 sachet de levure de boulanger sèche
33cl de lait tiède
80g de sucre
1 oeuf
100g de beurre mou

Pour la dorure : 1 jaune d’oeuf et une cuillère à soupe de crème entière liquide.

Quelques pépites de chocolat.

Préparation

Faire tiédir le lait au micro-onde pour y délayer ensuite la levure.

Dans le bol de votre robot batteur, ajouter la farine, le sel, le sucre et l’oeuf, puis commencer à pétrir (au crochet).

Ajouter le beurre sans cesser de pétrir puis ajouter progressivement le lait avec la levure délayée.

Pétrir jusqu’à obtenir une pâte bien lisse et non collante.

Bouler la pâte, couvrir d’un torchon ou de film alimentaire et laisser lever la pâte à l’abri des courants d’air pendant au moins 1h30. La pâte doit au moins doubler de volume.

Une fois la pâte bien levée, la dégazer en l’aplatissant avec le plat de la main sur le plan de travail légèrement fariné.

La remettre en boule et la peser. Ensuite, selon le nombre de petits bonhommes que vous désirez faire, détailler 10 ou 12 pâtons si possible de même poids (il vous suffit de diviser le poids de la totalité de votre pâte par 10 ou par 12 et de peser chaque pâton que vous détaillez).

Former des boudins avec vos pâtons en les roulant toujours dans le même sens (toujours vers l’avant). Avec le tranchant de la main, appuyer un peu plus fort à l’extrémité de votre « boudin » pour former la tête du bonhomme toujours en roulant votre boudin vers l’avant, puis former les bras et les jambes à l’aide de ciseaux.

Déposer les bonhommes sur une plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé et les laisser encore pousser une bonne heure toujours à l’abri des courants d’air.

Préchauffer le four à 180°.

Battre le jaune d’oeuf avec la crème puis dorer généreusement les bonhommes.

Ensuite, coller les pépites de chocolat pour former le visage et quelques boutons sur le ventre des bonhommes. Laissez parler votre gourmandise et vos envies de décoration.

Cuire les bonhommes pendant 15 minutes puis les laisser refroidir sur une grille.

Vous n’avez plus qu’à préparer le café, le thé ou le chocolat chaud, appeler tout le monde et vous mettre à table pour les déguster. Vous verrez, ils vont disparaître comme par enchantement et on vous en redemandera sans fin(faim).

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Petits sablés viennois

Hello les gourmand(e)s,

Après les spritz de l’autre jour, les manalas d’hier, cet après-midi j’ai fait 3 fournées de petits sablés viennois.

Il faut dire qu’avec ce temps, à part rester collée à la cheminée, l’autre meilleur endroit pour rester au chaud, c’est bien d’être devant son four ou ses fourneaux, non? :o)

Et puis, Noël est à notre porte.. c’est donc le bon moment pour faire plein de petits gâteaux de Noël! (il faut bien que je trouve une justification à mes envies de pâtisser aiguës…. )

Alors voilà, vu qu’une amie m’a demandé la recette après les avoir goûtés, je vous la mets en ligne encore ce soir.

Ingrédients

250g de beurre doux ou demi-sel
100g de sucre glace
1 pincée de sel
3 cuillères à soupe de blancs d’oeuf (équivalent à peu près à 1 blanc)
290g de farine

Réalisation

Ramollir le beurre soit en le sortant bien à l’avance du frigo soit en le passant quelques secondes au micro-ondes. Mais attention, il est bien question de ramollir le beurre mais pas de le faire fondre, sinon le résultat ne sera pas pareil…

Placer le beurre ramolli dans la cuve du batteur, y incorporer le sucre glace et la pincée de sel. Battre le tout avec la feuille du robot et non avec le fouet jusqu’à ce que ça blanchisse.

Une fois que le beurre est bien blanc, ajouter les 3 cuillères à soupe de blanc d’oeuf et continuer à battre.

Ajouter la farine en 3 ou 4 fois et laisser tourner le robot quelques minutes lentement.

Mettre la pâte obtenue dans une poche à douille munie d’une grosse douille cannelée et dresser les biscuits sur une plaque recouverte soit d’une silpat soit de papier de cuisson.

Cuire ensuite à 190° pendant 10 à 12 minutes selon votre four.

Vos petits biscuits doivent être dorés.

Si vous les aimez avec du chocolat, faites fondre du chocolat noir au bain marie en veillant à réaliser une courbe de température. Fondre le chocolat en n’excédant pas une température entre 45° et 50°, laisser refroidir à 27° puis faire remonter la température entre 31° et 34° toujours au bain marie en remuant bien le chocolat avec une spatule.

Ensuite, il ne vous reste plus qu’à tremper vos biscuits refroidis dans le chocolat et de les reposer sur vos plaques pour que le chocolat fige.

Si vous voulez encore plus de gourmandise, n’hésitez pas à les passer ensuite dans la poudre de noix de coco.

Avec le reste du chocolat fondu, j’ai fait quelques mendiants.. rien ne se perd ;o)

Maintenant il ne vous reste plus qu’à déguster vos petits biscuits avec un bon café ou un bon thé.

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La Maison Kaempff-Kohler et ses douceurs salées et sucrées

Coucou à nouveau à toutes et tous,

et oui, me revoilà encore avec un nouvel article qui je l’espère va vous mettre l’eau à la bouche.

Aujourd’hui, j’ai eu la chance d’être invitée à une dégustation chez le traiteur Kaempff-Kohler, par Claudia Stagnitto, leur nouvelle responsable communication et je vous avais promis sur ma page FB de vous en parler.

La Maison Kaempff-Kohler a été fondée en 1922 par Pierre Kaempff et Marguerite Kohler.  Ils installèrent leur pâtisserie au numéro 14 de la rue du Curé, en plein centre-ville de Luxembourg et l’enseigne y est toujours présente aujourd’hui.

Au cours des années, l’enseigne familiale au trèfle à 4 feuilles n’a eu de cesse de s’agrandir et de proposer de nouveaux services, comme le service traiteur ainsi que le restaurant-boutique situé à Niederanven.

D’ailleurs, si vous voulez tout savoir sur l’histoire de la maison, je vous invite à cliquer ici -> http://www.kaempff-kohler.lu/fr/au-fil-du-temps

Aujourd’hui, j’ai donc été invitée à partager un goûter gourmand de présentation des nouvelles douceurs créatives, salées et sucrées, de la maison Kaempff-Kohler au cours duquel le Chef pâtissier Jonathan Szymkowiak nous a présenté ses dernières créations fines comme :

  • sa bûche sapin « Délice d’Automne »  création 2017 revêtue de sa plus belle parure glacée aux saveurs d’automne, composée d’une mousse spéculoos, d’un confit de framboise sur biscuit financier. Pas besoin de vous dire que c’est un réel délice autant pour les yeux à cause de sa forme originale que pour les papilles!

 

  • son sapin tout en chocolat, noir ou au lait, décoré de fruits secs et confits

  • ses macarons originaux en forme de boules de Noël et fourrés avec une ganache framboise, à déguster ou à offrir (ou pas si on craque!!!!)

Nous avons eu droit aussi à une dégustation de compositions subtiles et originales, salées, entre terre et mer, élaborées par le Chef cuisinier Nicolas Sieren comme :

  • le cheesecake à l’avocat et saumon fumé sur un sablé maison et caviar de hareng
  • les bûchettes de rillettes de canard du Gers, pomme Granny caramélisée au vinaigre de framboise sur toast campagnard et crackers
  • la Sph’air de queues de langoustines sur un lit de tendres légumes aux perles de yuzu
  • le mille feuilles de langues Lucullus au foie gras sur un toast de pain d’épices et gelée de coing

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Dans la boutique en ville (+352 268686-1) ou dans celle de Niederanven (+352 474747-1), si vous êtes en panne d’idées ou si vous n’avez pas le temps de cuisiner pour vos réveillons de Noël ou de Saint-Sylvestre vous y trouverez de quoi régaler toute votre famille et/ou convives. Mais attention, derniers délais pour passer vos commandes de Noël = le 20 décembre et pour vos commandes de la St Sylvestre = le 29 décembre.

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Salon AMOG Global à Luxembourg

Hello les gourmand(e)s et les gourmet(te)s :o)

J’ai pas mal d’articles en retard mais je dois vous avouer que je suis un peu débordée ces derniers temps avec mes différentes activités culinaires et pâtissières.

Il y a quelques semaines, j’ai été gentiment invitée par les organisateurs du Salon Amog Global qui a eu lieu à Luxembourg et qui permettait à ses visiteurs de découvrir ce que le Portugal a de mieux à offrir en terme de gastronomie.

Comme vous l’avez donc bien compris, la gastronomie portugaise, reconnue internationalement par sa qualité, son innovation et son excellence était donc à l’ordre du jour.

Sur place, des producteurs agroalimentaires portugais, proposaient leurs produits à la dégustation dont notamment des charcuteries, des fromages, des vins de la région du Douro, Lisbonne et Vin Vert, des olives et leur huile, des pâtés de viandes en croûtes et autres rissols, des pâtisseries, du riz, des miels…

Leur but principal au travers de cette démarche était de rencontrer les grands acteurs du marché luxembourgeois afin de leur proposer une collaboration et de pouvoir proposer leurs produits au Luxembourg.

Etaient présents :

  • Quinta do Granjal, Sociedade Agricola Lda http://www.quintadogranjal.pt/ dont l’histoire remonte à la terre du Comte de Alpendorada et de la famille Trigo.

Le vin coule dans les veines de ce producteur qui a fait d’importants investissements pour construire des nouvelles infrastructures et plantations, visant a créer un vin et une huile d’olive de qualité exceptionnelle. Malgré quelques modernisations apportées aux techniques centenaires de la région, leur désir est de toujours conserver les traditions et l’authenticité.

Les vins proviennent des meilleures variétés de la Région du Douro, principalement la Touriga Nacional mais aussi la Touriga Tinta Roriz et la Tinta Barroca, qui offrent qualité et élégance, chacun en déclenchant une sensation et un arôme différents. Le micro-climat unique et les sols schisteux de la région fournissent un terroir unique et excellent pour la production de vin et d’huile d’olive de qualité supérieure, largement primés.

Leurs tartes offrent des saveurs uniques qui sont le résultat de la combinaison de méthodes de préparation traditionnelles, le savoir-faire des mains travailleuses qui les fabriquent depuis des décennies et les meilleurs ingrédients et arômes.

Comme à l’époque des grands-mères portugaises, le processus de fabrication des tartes est complètement fait à la main, y compris la préparation des garnitures.

  • Naturally Spring, une entreprise viticole située à Leiria, dans la Région Centre du Portugal.

Cette entreprise viticole a été créée en 1929 par Francisco Silva Rosa, le grand-père du directeur actuel. Sur trois générations, cette entreprise a toujours défendu des valeurs nobles telles que la qualité, l’honnêteté, le respect et la confiance.

Avec un grand choix de vins pour tous les goûts et des marques solides, cette entreprise a su garder les traditions familiales transmises de génération en génération et la sagesse des aînés y est en harmonie avec l’énergie et la connaissance technologique des plus jeunes.

Les saucisses d’Enchidos do Azinhal sont le résultat de l’alliance entre la viande soigneusement choisie, à savoir celle du porc noir d’Alentejo, et les ingrédients originaux, comme le poivron local et le vin blanc de la région, qui ont toujours été utilisés dans les saucisses de la Région de l’Alentejo.

Les ingrédients utilisés, l’intestin naturel associés au bois de chêne liège et de chêne Holm pour le fumage, confèrent aux saucisses une saveur et une apparence uniques et incomparables.

 

C’est une histoire d’amitié qui a créé cette équipe formée par Alexandre Raposo et Nuno M. Pinto, à la base sans expérience dans le monde des vins. Soutenus par l’oenologue Miguel Falcao, ils ont décidé de créer une marque de vins appelée Papo Seco et offrent au marché des vins d’un goût et de qualité équilibrés à des prix compétitifs.

 

Luzpambio est une toute jeune entreprise créée depuis peu par 8 associés dans le sud-est du Portugal. Chacun des associés a des années d’expérience dans la culture des plantes aromatiques et médicinales et sont certifiés en production bio. Leur surface de production combinée est de 35 ha.

Luzpambio propose une large gamme de plantes (plus de 40 espèces de plantes) séchées pour assaisonnements et tisanes et développe également des activités diversifiées telles que la distillation, le séchage, la transformation et l’emballage.

 

Cette entreprise a été fondée en 2004 et est aujourd’hui une référence dans le secteur du « précuit ». Elle fournit à ses clients la meilleure qualité de produits et services de distribution et de commercialisation en sélectionnant des matières premières des meilleures origines, sans colorants ni conservateurs et sans réhausseurs de saveur (rissol de viande, aux crevettes, au porcinet, croquettes, samoussas, croquettes de morue, patanisca de bacalhau, pataniscas de queijo e fiambre, coxinhas au poulet, panés…).

Cette entreprise a commencé en tant que boulangerie familiale en 1969 et s’est agrandie progressivement pour offrir aujourd’hui toute une gamme de pains (au moins 50 types de pain et miniatures) divers et variés cuits dans un four à bois.

Au maïs, à la betterave, aux épinards, à la caroube, aux olives, au seigle… pour ne citer que ces quelques variétés-là.

 

Deux entreprises qui proposent LA fameuse pâtisserie portugaise que tout le monde connaît et adore, le Pastel de Nata, aux fruits, au chocolat et même sans lactose, surgelés et qu’il ne reste plus qu’à réchauffer.

Le plus difficile est de ne pas tous les manger!

Originaire également de la région du Douro, aujourd’hui classée Patrimoine de Mondial de l’UNESCO, Vinhos Dona Otilia est une entreprise dont l’objectif est de produire des vins de qualité (dont certains ont été primés) avec des cépages de haut niveau ainsi que le vin de Porto également issu de la région du Douro et que les portugais appellent « Concha Vinhateira ».

Ils proposent des vins rouges, des vins blancs, des mousseux, du porto rosé, tawny, ruby, blanc de tous âges (10 ans, 20 ans, 30 ans, 40 ans…) dont un Tawny Vin de Porto de 100 ans d’âge!

 

Une entreprise de la région portugaise de Tras-os-Montes qui a déposé la marque de fromages Mogad’Oyro produits à base de laits de brebis, de chèvres et de vaches sélectionnés et collectés dans 6 des principales communes productrices de cette région.

 

 

 

J’espère n’avoir oublié personne… Comme je vous le disais en préambule, toutes ces entreprises ont fait le déplacement du Portugal et ont créé leur petit salon d’exposition et de dégustation pour se faire connaître sur le marché luxembourgeois afin d’essayer d’y trouver une petite place pour leurs produits.

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Ils n’ont malheureusement pas trouvé autant d’écho à leur démarche qu’ils l’auraient souhaité car sur 19 rendez-vous fixés, seuls 5 ont répondu présent.

Je leur souhaite le meilleur et parie qu’ils vont y arriver, petit à petit, car chacun d’entre eux est réellement passionné par ce qu’il fait. Pour avoir eu la chance de pouvoir déguster certains de leurs produits, j’ai pu constater qu’ils étaient tous d’excellente qualité et plus délicieux les uns que les autres.

Souhaitons que le peu de rendez-vous qu’ils ont eu aient été concluants.

 

 

Les fêtes de fin d’année

Hello everybody,

ça y est, décembre arrive à grands pas et les fêtes qui vont avec.

Tout le monde se met dans l’ambiance, on voit les décorations et les illuminations fleurir un peu partout, les propositions de menus, les nouvelles bûches, les recettes de foie gras…

 

 

Concernant des recettes de foie gras, je vous en ai déjà mis en ligne l’année dernière et vous pourrez les retrouver facilement en farfouillant (mdrrrrrr c’est du belge ça) un peu sur le blog dans les recettes salées 😉

 

 

Si vous vous sentez de vous lancer tous seuls dans leurs réalisations, vous retrouverez aussi quelques recettes de bûches de Noël.

Pour les autres, j’ai prévu des ateliers à la maison et j’ai déjà hâte qu’on y soit. Tout est prêt. Les recettes, les ingrédients, les gouttières à bûche, les décorations.. comme on dit, il n’y a plus qu’à, et après les efforts on se réconfortera autour d’un bon café et de petites douceurs.

 

 

En attendant, je fais des tests de nouvelles présentations de mes bûches habituelles. En voici un qui a ravi tous mes cobayes, tant au niveau du palais que de leurs yeux.

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Il s’agit d’une bûche en forme de rondelle de tronc d’arbre (décor écorce d’arbre), décorée de feuilles d’arbres en chocolat réalisées en moulant de vraies feuilles d’arbres et de morceaux de sponge cake au thé matcha pour un effet mousse d’arbre. A l’intérieur de cette bûche on retrouve une strate de biscuit aux amandes chablonné avec un praliné feuillantine, une strate de mousse au chocolat noir, une autre de mousse au chocolat blanc, d’une seconde tranche de biscuit amandes recouvert de praliné feuillantine et pour finir une très fine couche de mousse au chocolat noir qui recouvre le biscuit.

Puis comme chaque année, je fais aussi tous mes petits biscuits de Noël, qui disparaissent à chaque fois de façon hallucinante.. je crois que c’est encore un coup du Père Noël ça, pas vous? :o)

Demain, je suis aussi invitée chez Keampff-Kohler au Luxembourg http://www.kaempff-kohler.lu/ pour une dégustation des nouvelles créations de leur chef pâtissier de talent, Jonathan Szymkowiak, réalisées pour les fêtes. Au programme, entre autres, des macarons surprises, une bûche « sapin » Délice d’Automne revêtue de sa plus belle parure… Comme d’habitude, je vous raconterai tout ça en détail très prochainement.

Si vous ne voulez rien rater, restez connectés car je dois aussi terminer un article relativement long concernant le salon AMOG Global que j’ai visité il y a quelques semaines et le mettre très vite en ligne…

N’oubliez pas de vous laisser envahir par l’esprit de Noël, soyez heureux et rendez heureux ceux que vous aimez.

Gaufres légères

Coucou les gourmand(e)s,

de plus en plus quand je pâtisse, j’essaie de désucrer un maximum mes recettes.

Aujourd’hui j’ai fait un test de recette de gaufres très très légères. Non seulement il n’y a pas un gramme de sucre dans la recette mais il n’y a pas de beurre non plus. Par contre, il y a des oeufs mais plus « light »  en sucre et matière grasse je crois que ça n’existe pas.

Après, pour ceux qui aiment le sucre, il est toujours possible de saupoudrer vos gaufres avec du sucre glace ou d’ajouter de la pâte à tartiner dessus et comme ça tout le monde sera content. Les personnes qui doivent surveiller leur taux de sucre pourront se régaler autant que ceux qui n’ont pas (encore) besoin de le faire.

De plus, quand je vous dis qu’elles sont légères, outre le fait de l’être au travers des ingrédients, elles sont légères comme des plumes.

Allez, trêve de bavardages, passons aux choses sérieuses.. voici la recette ;o)

Pour une trentaine de gaufres doubles, il vous faudra :

320g de farine
8 oeufs
40 cl de lait
1 sachet de levure chimique
de l’extrait de vanille
2 càs d’huile de tournesol
1 pincée de sel

Faire tiédir le lait avec l’extrait de vanille. Si vous voulez légèrement sucrer votre pâte, rien ne vous empêche d’ajouter à l’a place de l’extrait de vanille, 1 ou 2 sachets de sucre vanillé.

Dans une gros cul de poule, mélanger ensemble les poudres (farine, sel et levure) avec un fouet.

Incorporer les jaunes d’oeufs un par un en prenant soin de mettre les blancs de côté car il faudra les monter en neige.

Ajouter l’huile, mélanger puis commencer à verser le lait tiédi progressivement sans cesser de fouetter afin d’obtenir un mélange bien homogène.

Mettez les blancs dans la cuve de votre robot avec une pincée de sel et montez les en neige bien ferme.

Il ne reste plus ensuite qu’à les incorporer dans la pâte puis à faire cuire vos gaufres.

Pasta Maker de chez Philips

Hello tout le monde,

ça fait un petit moment que je n’ai pas eu le temps de prendre mes doigts en main pour vous rédiger un petit article… seulement là, même si j’ai tellement de choses à faire encore avant demain matin, mes doigts me démangent et je ne peux pas m’empêcher de vous raconter ça….

Aujourd’hui, je suis allée en formation à Mondorf grâce au magasin Saturn Luxembourg City https://www.facebook.com/saturnluxcity/pour me familiariser avec le Pasta Maker de chez Philips https://www.philips.be/fr/c-p/HR2355_12/premium-collection-machine-a-pates-et-nouilles-avec-outil-de-nettoyage que je vais présenter en atelier fun cooking samedi qui vient dans leur magasin au centre ville de Luxembourg.

Alors que je suis déjà pas mal équipée en appareils de tous genres pour la cuisine ou la pâtisserie, s’il y a bien un nouvel appareil que je voudrais avoir, c’est le pasta maker. Un vrai coup de coeur !

En repassant au magasin après la formation, j’en ai reçu un en prêt jusqu’à samedi pour me faire la main dessus et à peine rentrée je l’ai déballé et, comme on dit qu’il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je me suis mise à faire des pâtes. Vous savez? De bonnes pâtes fraîches, miaaammm il n’y a rien de meilleur surtout quand c’est aussi simple et rapide à faire!

Si je ne l’avais pas vu de mes yeux, jamais je n’aurais imaginé que ça pouvait être aussi simple et rapide. La machine à peine déballée, après un petit nettoyage rapide avant première utilisation, un peu de farine, un oeuf et de l’eau et hop me voilà avec 300g de pâtes fraîches en 10 minutes à peine et tout ça sans huile de coude!

La machine mélange tout elle-même et les pâtes commencent à sortir de la machine au bout de 3 minutes. Il suffit alors de les couper à la longueur que l’on souhaite au fur et à mesure qu’elles sortent de la machine.

Avec l’appareil qu’on ma prêté, on a le choix de réaliser soit des spaghetti, soit des fettucine, soit des rigatoni ou encore des feuilles de lasagne ou des cannelloni.

Par contre, l’appareil que j’ai vu cet après-midi en démonstration, quant à lui, permet de faire jusqu’à 450g de pâtes en une seule fois et a 8 embouts différents permettant de préparer une plus grande variété de pâtes en 15 minutes maximum.

Vous mettez votre eau à bouillir, vous mettez votre machine en marche avec les ingrédients nécessaires, vous coupez les pâtes à la longueur souhaitée et il ne reste plus qu’à les jeter dans l’eau bouillante et de les cuire quelques minutes à peine vu que ce sont des pâtes fraîches.

Je vous entends déjà me dire, encore un appareil à mettre sur le plan de travail… en effet, oui, mais si vous êtes de grands consommateurs de pâtes, pas besoin de vous dire que ça ne va pas vous gêner bien longtemps vu le nombre de points positifs de la machine comme pour ne citer qu’eux : la rapidité et la facilité d’utilisation (démontage, lavage, remontage de l’appareil), sans parler du goût de vos pâtes fraîches et de toutes les variétés réalisables.

Ah et puis j’allais oublier, un livre de recettes qui contient des recettes de pâtes pour varier les goûts et les couleurs (aux épinards, au jus de betterave, à l’encre de seiche ou avec différentes farines…) et des recettes cuisinées, est fourni avec la machine.

Enfin voilà, pour résumer je suis conquise…et si comme St Thomas vous ne croyez que ce que vous voyez, je vous invite donc à venir me retrouver ce samedi 18 novembre chez Saturn Luxembourg-City pour voir la machine en action et venir déguster les recettes que je vais vous concocter.

Je vous dis donc à samedi ;o)