Tarte briochée amandine aux mirabelles ou aux reines claude

La saison bat son plein et cette année, même avec l’été caniculaire auquel nous avons eu droit, les arbres fruitiers nous ont gâtés.

Après avoir fait la tarte traditionnelle, les clafoutis, les confitures, en avoir croqué des dizaines, j’ai eu envie de tenter la tarte aux mirabelles sur une pâte briochée pour changer.

On a tous adoré, donc voici ma recette pour la réaliser chez vous.

Pour la pâte briochée (vous pourrez faire deux tartes avec la quantité)

200g de lait
1 sachet de levure de boulangerie (ou spéciale brioches)
500g de farine
80g de sucre
2 oeufs
125g de beurre froid

Pour l’amandine

1 gros oeuf
2 càs de poudre d’amande
2 càs de sucre
15 cl de crème

Des mirabelles en nombre suffisant pour recouvrir toute la pâte une fois étalée dans le moule à manqué. Je n’ai pas compté ni pesé la quantité de mirabelles que j’ai utilisées.

Réalisation

Pour commencer, tiédir le lait et y délayer la levure puis attendre quelques minutes.

Verser le lait et la levure dans le bol de votre robot, y mettre la farine, les oeufs et le sucre et pétrir à l’aide du crochet pendant 5 minutes jusqu’à ce que la pâte se forme bien.

Ajouter le beurre froid en cubes et pétrir à nouveau pendant 2 à 3 minutes.

Couvrir le bol et laisser gonfler la pâte à température ambiante ou dans un four préchauffé à 40° éteint et porte fermée pendant 45 minutes. Ensuite, placer le bol avec la pâte au réfrigérateur pendant 40 minutes.

Au bout de ce temps, sortir la pâte du réfrigérateur, la dégazer sur un plan de travail légèrement fariné et la replier plusieurs fois sur elle-même avant de reformer une belle boule.

Diviser votre pâton en deux pâtons égaux pour réaliser deux tartes.

Préchauffer le four à 180° en chaleur tournante.

Prendre un moule à manqué, le beurrer et recouvrir le fond d’un rond de papier sulfurisé.

Aplatir et étaler le premier pâton à l’intérieur du moule avec les mains et les doigts pour former un fond de tarte.

Recouvrir avec les mirabelles dénoyautées et coupées en deux, peaux contre la pâte, et les enfoncer dans la pâte avec le plat de la main quand toutes les mirabelles recouvrent la pâte.

Préparer l’amandine avec le gros oeuf entier, la poudre d’amande, le sucre et la crème bien mélangés ensemble puis verser l’appareil sur la tarte.

Préparer la deuxième tarte de la même façon et la réserver pendant que la première cuit pendant 35 minutes.

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Maintenant, régalez-vous ! Vous pouvez congeler la seconde tarte une fois qu’elle sera refroidie sauf si vous êtes gourmands et que vous réussisez à manger les deux tartes rapidement.

 

Avocado.lu foodbox

Comme promis et comme la rentrée approche à grands pas et que vous allez toutes et tous reprendre le chemin du travail et de la routine quotidienne, je vais vous raconter ma découverte des foodbox de chez Avodado.luhttp://avocado.lu

Pour la petite histoire, à l’époque où j’avais Sesame Services, mon entreprise de services de conciergerie dédiée aux salariés des entreprises et aux particuliers au Luxembourg, il y a plus de 10 ans maintenant, j’avais en projet de proposer de livrer à mes clients des paniers contenant tout ce qu’il fallait (ingrédients et recettes) pour préparer plusieurs menus simples, rapides et efficaces.

Comme vous le savez toutes et tous, quand on travaille, on n’a pas toujours le temps d’aller faire les courses ou tout simplement, fatigués par nos longues journées de travail, on n’a pas toujours envie de réfléchir à ce qu’on va faire à manger le soir en rentrant.

D’ailleurs, qui ne s’est jamais dit : « si seulement quelqu’un pouvait me donner des idées de quoi faire à manger et aller me faire les courses pour réaliser les recettes qui vont avec »?

Si vous me dites : « pas moi »… et bien j’aurai du mal à vous croire !

De nos jours, alors qu’on court sans cesse après le temps, on prend de moins en moins le temps de cuisiner et donc de manger sain. Par « facilité », on se laisse malheureusement tenter par des plats soi-disant sains préparés par l’industrie agroalimentaire croyant bien faire.

Pourtant cuisiner, ce n’est pas compliqué et c’est loin d’être une corvée. Ca peut devenir un moment de partage en famille en demandant à tout le monde de prendre part à la préparation du repas et c’est surtout enfin manger sain. Puis il y a de quoi être fier d’avoir préparé son plat fait maison, non?

Chez Avocado.lu, ce à quoi j’ai pensé il y a des années, et bien,  ils l’ont fait et ils m’ont gentiment proposé de le tester.

Courant juillet j’ai reçu à la maison une de leur foodbox pour 4 personnes dont le thème était la cuisine grecque.

 

 

A noter que vous pouvez choisir le thème de votre box,  vous faire livrer à la fréquence que vous choisissez et à l’adresse de votre choix, c’est-à-dire même au bureau si vous préférez.

 

Tous les ingrédients : viandes, poisson, légumes, fruits, épices, féculents, céréales, herbes fraîches, etc sont livrés dans une box isotherme dans des emballages réutilisables ou recyclables et gardés au frais grâce à des pains de glace.

 

 

 

Avocado.lu garantit de la viande 100% d’origine BIO ou sauvage. 100% des produits laitiers sont BIO ainsi que tous les produits secs sauf quelques exceptions. Les fruits et légumes sont 90% d’origine BIO et Avocado.lu travaille également le plus possible avec les cultivateurs locaux pour ainsi diminuer les nuisances et encourager l’économie locale.

Une fois votre boîte livrée, il ne vous reste plus qu’à choisir une des recettes qu’elle contient et à cuisiner un succulent plat fait maison en moins de 45 minutes et même en moins de 25 minutes pour certaines.

Si vous n’êtes pas un chef confirmé, aucun problème. Toutes les recettes sont simples, très accessibles, bien expliquées, en français, anglais ou allemand et, surtout, elles sont efficaces et inratables. Vous pourrez même refaire celles que vous préférez ultérieurement et à l’envi quand vous inviterez des amis par exemple puisque vous pouvez garder les fiches des recettes.

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Alors, c’est pas un bon plan ça? Nous en tous cas, on s’est régalés toute la semaine, miaaaammmmm. Maintenant, il ne vous reste plus qu’à trouver la box qui vous convient https://avocado.lu/fr/boxes

 

 

La rentrée….

Hello tout le monde,

oui, je sais, ça fait un bail que je n’ai rien écrit… j’avais besoin de faire un break et de déconnecter un peu.

ça n’empêche pas que j’ai plein de recettes à publier et de choses dont je dois vous parler.

Avouez tout de même que vous non plus vous n’étiez pas très présents avec l’été que nous avons eu. Qu’est-ce qu’on a eu chaud… pour une fois. Dommage qu’on doive un tel été au réchauffement climatique qui augmente inexorablement et dont tout le monde se fiche malheureusement…. triste monde dans lequel nous vivons…

La nature a pris une sacrée claque cette année. Vous allez voir qu’à peine nous serons en automne, c’est-à-dire dans quelques jours, les arbres vont rapidement perdre leurs feuilles tellement ils ont soufferts de la sécheresse.

En attendant, malgré sa souffrance, cette année la nature nous a gâtés avec des fruits à profusion et très sucrés. D’ailleurs, pendant que je vous écris, mes mirabelles sont en train de cuire et vont bientôt finir dans quelques jolis pots à confiture.

Courant juillet, j’ai eu l’occasion de tester une foodbox de chez Avocado.lu https://avocado.lu/. Vu que la rentrée est à nos portes, je sens que ça va intéresser beaucoup de monde. Vous aurez droit tout bientôt à un article à ce sujet. Je peux déjà vous dire que j’ai kiffé ! Le concept est génial, vous verrez.

Normalement, en septembre, je mets les voiles quelques jours avec mon chéri pour aller découvrir avec lui le pays où il est né et où il a vécu pendant son enfance. Je vous en dirai plus le moment venu.

Comme d’habitude, pour ne rien rater, restés connectés. Je compte sur vous !

Quand les Sucrés du Lux retombent en enfance

Le 18 juin dernier, pour leur 6ème édition, j’ai de nouveau eu le plaisir de pouvoir assister à une très grande démonstration des talents des Sucrés du Lux.

Cette fois, l’événement s’est tenu à l’Hostellerie du Grünewald, http://www.hdg.lu/fr/ située au numéro 10, Route d’Echternach à Luxembourg, dans un cadre raffiné, moderne et très chaleureux.

Le défi des Sucrés du Lux, un thème plein de tendresse, était « Les desserts de notre enfance ».

Alors, pâtissiers avant tout, mais surtout encore de grands enfants, les pâtissiers sont allés chercher dans leurs souvenirs, ces goûts d’enfance, sucrés, doux et moelleux. Avec leur esprit d’enfant et leur expertise de professionnels, ils ont su retranscrire les goûts de notre enfance et revisiter les desserts qui ont marqué leur propre jeunesse.

Yves JEHANNE, Chef Pâtissier chez Steffen Traiteur et Président du Club Les Sucrés, a revisité les crêpes sous forme de millefeuille de gavottes vanillées montées à la minute, avec une délicieuse crème princesse à la vanille très légère agrémentée au choix d’un gel de fraise, d’un caramel tendre à la fleur de sel ou d’une pâte à tartiner Bahibe, pour son souvenir d’enfance en Bretagne.

 

 

 

Jonathan SZYMKOWIAK, Chef Pâtissier chez Keampff-Kohler, s’est amusé sur un Jenga en réalisant un « pain perdu » avec de la brioche toastée, un crémeux sakanti Bali à l’orange, une crème brûlée vanille bourbon et une marmelade d’oranges, lui rappelant aussi les fêtes de famille.

 

 

 

Benoît CENEDA, Chef Pâtissier du Restaurant de l’Hôtel la Citadelle à Metz, a quant à lui a revisité le riz au lait de façon Co(s)mic en l’alliant avec subtilité à une compotée de green zebra (tomates), une salade de fraises et huile d’olive et olives caramélisées, en dressant le dessert dans des petits bocaux sur sa collection de BD préférée. Il nous a également présenté la tarte aux pommes de sa maman.

 

 

 

 

Pierre ZEHNER, Chef Pâtissier Domaine de la Gaichel, nous a présenté sa revisite de la tarte à la rhubarbe sur un sablé breton, une crème d’amande et
une compotée de rhubarbe garnie de fines lanières de rhubarbe cuite
sous vide et de fleurs de sureau.

 

 

 

Et pour finir, last but not least, Paul BUNGERT, Chef Pâtissier de l’Hostellerie du
Grünwald, nous a également présenté sa tarte à la rhubarbe sur pâte sucrée,  compotée et crémeux rhubarbe, sous un glaçage bi-color.

 

 

La prochaine édition des Sucrés du Lux aura lieu en automne prochain. Le lieu et le sujet seront révélés très bientôt.

Attention, ce n’est pas tout ! Un jeu concours sera mis en ligne pour faire gagner des places au grand public ! Restez connectés, si leurs dégustations vous font rêver, je vous en reparlerai en temps voulu !

En attendant, régalez-vous avec vos yeux en regardant ces autres photos, ci-dessous, prises lors de l’événement.

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La Brasserie La Lorraine ré-ouvre ses portes

La Brasserie La Lorraine est située au 7 Place d’Armes à Luxembourg. Elle a été créée en 1983 et a une capacité d’accueil de 90 personnes en intérieur + 90 personnes en terrasse.

La Formule Business Lunch est à 29 €, le plat du jour à 17€ et le menu est à partir de 39€. Ses horaires d’ouverture sont de 11h30 à 23h00.

Institution pour certains, lieu mythique pour d’autres, la Brasserie La Lorraine, a été reprise à la fin de l’année dernière par François Poitrinal et Benjamin Debris. D’important travaux ont été réalisés afin de rendre ses lettres de noblesse à cet établissement célèbre pour ses poissons, ses fruits de mer et son exceptionnelle carte des vins. Le banc d’écaille est de retour et le vivier sera présent le temps des beaux jours. Les deux nouveaux propriétaires gèrent déjà plusieurs brasseries à Paris, au travers de leur société Union des Cafés de Paris, aidés en cela par leur directeur des opérations Kévin Montay.

Au cours de la conférence de presse à laquelle j’ai eu la chance d’être conviée, Monsieur Poitrinal nous a raconté que sa famille, originaire du Luxembourg, a bien connu l’âge d’or de La Lorraine. C’était pour eux le restaurant des déjeuners familiaux du dimanche. Quand il a appris que l’établissement était en vente, il a saisi l’occasion. C’est un investissement, mais aussi un projet de passion et un challenge, car connaissant le potentiel de ce lieu mythique, il a entrepris des travaux lourds de rénovation conforme aux meilleurs standards de la profession.

Voulant offrir à sa clientèle un accueil chaleureux et une atmosphère conviviale autour d’une cuisine saine et naturelle, la décoration en cours de finalisation rappellera le grand large et l’air marin.

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La clientèle visée est la clientèle habituelle de La Lorraine constituée aussi bien de déjeuner familiaux que de repas d’affaires, mais aussi une clientèle nouvelle et des personnes de passage à Luxembourg souhaitant trouver un lieu et un accueil à la fois sympathique et de grande qualité.

Les nouveaux propriétaires se sont associés à l’équipe déjà en place pour mûrir leurs réflexionS et créer la nouvelle carte, à des prix raisonnables, orientée sur les produits de la mer. A l’instar des brasseries traditionnelles, ils ont mis en place un service continu pour déguster un plateau de fruits de mer, à toute heure, ou savourer une bonne bière du Luxembourg en terrasse. L’ancienne équipe a été reprise et les deux responsables, Mathieu et Yoan sont présents dans l’établissement depuis plus de 10 ans.

Ayant à coeur de faire un clin d’oeil aux origines et à l’histoire de La Lorraine, de leurs réflexions, est également ressortie la nécessité d’un étal de poissons et de fruits de mer qui était l’attraction du restaurant pendant de nombreuses années. D’ailleurs, l’écailler est déjà en place et vu son succès, ils sont certains de ne pas s’être trompés.

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J’ai d’ailleurs eu la chance de faire la connaissance de Monsieur Joel Dupuch, le plus célèbre ostréiculteur du Bassin d’Arcachon, au cours du délicieux repas qui a suivi la conférence de presse. Je suis certaine que vous le connaissez aussi vu sa très belle filmographie dont, entre autres, Les petits mouchoirs, Jappeloup, Ne le dis à personne…

De nombreux autres projets sont encore à l’étude ou seront très vite mis en place au sein de l’établissement, comme, des cours d’oenologie et des dégustations de vins, la possibilité de privatiser une partie de l’établissement pour des déjeuners d’affaires ou des conférences, la mise en place d’un système de fidélisation de la clientèle, d’un prix littéraire en 2019 pour le roman gourmand… plein de choses dont je ne manquerai de vous reparler le moment venu.

J’ai passé un excellent moment en compagnie de Monsieur Poitrinal, de ses équipes et de Monsieur Joel Dupuch et les en remercie encore. Je ne peux que vous recommander La Brasserie La Lorraine, ne serait-ce que, dans un premier temps, pour la beauté des lieux et sa décoration chaleureuse et cosy….on se croirait dans un luxueux voilier.. et dans un second temps, pour sa cuisine raffinée. J’ai eu la chance pour pouvoir y manger un savoureux carpaccio d’espadon, suivi de tendres coquilles St Jacques sur leur lit de poireaux et d’un dessert à base de mirabelles, petit clin d’oeil à la Lorraine.

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Encore une excellente adresse à répertorier et à recommander !

Linguine alle vongole (aux coques)

J’adore les manger, mais je n’en n’avais jamais encore fait jusqu’ici. Pour moi, c’est LE plat de pâtes italien par excellence.

En Italie, à la carte, on le trouve souvent en « primo piate », c’est-à-dire après l’entrée. Il s’agit d’un plat d’apparence très simple qui ne nécessite que très peu d’ingrédients. Cependant, pour la réussite de la recette, il faut choisir les meilleurs ingrédients… des pâtes de très bonne qualité, des coquillages très frais et il faut surtout réussir les différentes cuissons (pâtes, coquillages) et obtenir un assaisonnement maîtrisé pour que le plat soit savoureux.

Quand les « linguine alle vongole » sont bien préparés, c’est un délice plein de saveurs… si on ferme les yeux, en les dégustant, on s’imagine au bord de la mer, on sent le soleil couchant nous caresser la peau, on voit les plages de sable fin italiennes, on voyage…..

Pour revenir sur terre, évidemment, en France, on ne trouve pas facilement des « vongole » alors on se tourne vers des palourdes qui leur ressemblent beaucoup même si la chair des vraies « vongole » est plus tendre et leur coque plus fine.

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Ingrédient pour 2 personnes

  • 600g de vongole veraci (si vous en trouvez) sinon à défaut de palourdes
  • 300gr de linguine (je prends des Barilla)
  • une gousse d’ail
  • un bouquet de persil
  • un verre de vin blanc sec
  • huile d’olive
  • poivre

Ce qui est sympa avec cette recette, c’est qu’on peut la préparer à l’avance.

Commencer par retirer tous les coquillages cassés. Ensuite on lave bien les palourdes en les rinçant dans plusieurs eaux, puis on les laisse tremper une petite heure.

Faire cuire les pâtes al dente dans une grande quantité d’eau. Les pâtes finiront de cuire avec les vongole. Il ne faut donc pas trop les cuire (arrêter la cuison 2 à 3 minutes avant le temps indiqué sur le paquet) et les passer sous l’eau froide pour stopper la cuisson.

Arroser les pâtes avec un filet d’huile d’olive, bien mélanger et réserver.

Egoutter les palourdes et les faire sauter dans 5 cuillères à soupe d’huile d’olive, à feu très vif.

Bien remuer et enrober les palourdes d’huile, ajouter le vin blanc, la gousse d’ail hachée, poivrer généreusement (surtout ne pas ajouter de sel car les palourdes sont très iodées et rendront du sel à la cuisson). Personnellement, j’aime bien ce qui est relevé et j’ajoute en plus un peu de piment d’espelette.

Stopper la cuisson au bout de 5 minutes et égoutter les vongole en prenant soin de récupérer le jus de cuisson en le filtrant finement car les palourdes peuvent rendre un peu de sable à la cuisson. Réserver les palourdes et le jus de cuisson séparement.

Voilà, tout est prêt !

Quelques minutes avant de servir, prendre une très grande sauteuse et y réchauffer le jus à feu vif et le faire réduire deux ou trois minutes.

Rajouter les vongole et les linguine et bien mélanger. Couvrir et laisser chauffer quelques minutes en prenant soin de remuer régulièrement.

Parsemer de persil ciselé et servir sans attendre accompagné d’un bon vin blanc fruité et frais.

Régalez-vous !

Cheesecake aux speculoos

Si vous me suivez, vous devez savoir que l’une de mes pâtisseries préférées est le cheesecake. Hélas, je n’en fais pas souvent parce que chez moi, je suis la seule à aimer ça….. eh oui, mes hommes n’en sont pas fans.

N’empêche, j’ai testé la recette que Delhaize https://www.delhaize.be/fr-be/recettes/recetteDetails/Cheesecake-classique-aux-speculoos/r/Cheesecake-klassiek-met-speculaas a publié sur son site dernièrement..(ben oui, j’ai craqué mdrrrrrrrr…) et je peux vous dire qu’elle est validée par toutes les personnes qui l’ont goûtée.

Alors, je vous la donne ici et vous la recommande.

Par contre, il va vous falloir être patients avant de la déguster….

Temps de préparation : 20 min + 1.15 h de cuisson + 1 h de refroidissement + 12 h de repos

Ingrédients:

  • 2 jaunes d’œufs
  • 225 g de spéculoos
  • 600 g de fromage frais nature (type philadelphia)
  • 25 cl de crème fraîche
  • 150 g de sucre de canne
  • 50 g de beurre
  • 3 œufs entiers

 Préparation:

  1. Préchauffer le four à 200°C.
  2. Chemiser un moule démontable de 24 cm de diamètre avec du papier cuisson.
  3. Réduire les spéculoos en poudre au robot (ou en les écrasant au rouleau à pâtisserie, enfermés dans un sachet congélation).
  4. Ajouter le beurre coupé en morceaux et mélanger du bout des doigts, jusqu’à obtention d’un mélange homogène. Verser dans le moule et tasser dans le fond, en remontant un peu sur les bords.
  5. Fouetter le fromage frais avec la crème, le sucre, les œufs entiers et les jaunes.
  6. Verser dans le moule et enfourner 15 min à 200°C.
  7. Baisser la température à 100 °C et poursuivre la cuisson durant 1 h.
  8. Éteindre le four et y laisser refroidir le cheesecake pendant 1 h.
  9. Laisser ensuite reposer 12 h au frigo.
  10. Servir frais. Accompagné d’un coulis de fruits rouges et de fruits rouges c’est encore meilleur.

Petite astuce

  • Afin d’éviter de vous débattre avec le papier cuisson dans le moule, c’est très simple, il vous suffit d’humecter légèrement le moule et le papier y adhèrera sans problème !

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Tarte à la rhubarbe

C’est la pleine saison… je ne peux donc pas m’empêcher de vous présenter une petite recette sympa et, comme d’habitude, facile à réaliser, de tarte à la rhubarbe.

Pourtant, la rhubarbe et moi, on a eu du mal pendant de longues années… je ne sais d’ailleurs pas comment l’expliquer mais à un moment de ma vie j’ai décrété que je n’aimais pas ça sans jamais y avoir goûté pour autant… Maintenant, j’adore son petit goût acidulé qui est tellement rafraîchissant.

Allez, trêve de bavardage, passons à l’action!

Vous pouvez la faire avec deux sortes de pâtes différentes. Personnellement, je la préfère avec une bonne pâte sablée sucrée même si elle est fragile à cause du jus rendu par la rhubarbe à la cuisson.

Je vous donne donc les deux recettes de pâtes, à vous de choisir :

La sablée sucrée (pour un cercle de 22cm)

250g de farine
125g de beurre
5g de sel
25g de sucre
1 jaune d’oeuf
50g d’eau

Mettre la farine et le beurre à température ambiante coupé en dés dans un saladier (cul de poule) et sabler le beurre et la farine. Pour être plus claire, l’opération consiste à frotter du bout des doigts le beurre et la farine ensemble jusqu’à obtention d’un sable grossier.

Faire un puits et ajouter les éléments liquides (l’eau et le jaune d’oeuf) au centre et y dissoudre le sel et le sucre avec une fourchette.

Assembler le tout au départ avec la fourchette en remuant puis finir avec les doigts et former une boule.

Ensuite, fraiser la boule de pâte deux fois. L’opération de « fraisage de la pâte » consiste à pousser et écraser la pâte sur le plan de travail avec la paume de la main. De cette façon on obtient un mélange intime des différents élément (farine, beurre, oeuf et eau) sans pour autant rendre la pâte élastique.

Réunir ensuite la pâte en une seule grosse boule. La filmer et la placer 30 minutes au frigo.

La pâte brisée

300g de farine
1 pincée de sel
80g de beurre
4 càs d’huile d’olive

Tamiser la farine et le sel dans un cul de poule.

Creuser un puits au centre, y ajouter le beurre en petits dés et l’incorporer à la farine du bout des doigts.

Ajouter l’huile d’olive, amalgamer rapidement et ajouter un tout petit peu d’eau froide si nécessaire pour obtenir une boule de pâte lisse.

Couvrir et laisser reposer 1 heure.

Garniture de la tarte

1kg de rhubarbe
7 càs de sucre en poudre
1 oeuf
20cl de crème fleurette

Il est donc temps de s’occuper de la rhubarbe.

Laver et éplucher vos belles tiges de rhubarbe.

Les couper en petits tronçons dans un saladier.

Saupoudrer de 3 càs de sucre, mélanger, filmer et laisser dégorger la rhubarbe une heure au réfrigérateur.

Préchauffer votre four à 200°C

Il ne vous reste qu’à étaler la pâte que vous avez réalisée ou celle de votre choix  (brisée ou sablée et surtout pas feuilletée) que vous avez achetée et de la piquer avec une fourchette puis de la placer dans un moule ou un cercle à tarte.

Egoutter la rhubarbe et la répartir sur la pâte à tarte.

Battre l’oeuf avec la crème fleurette et le reste du sucre.

Verser la préparation sur la rhubarbe et enfourner pour 30 minutes.

Pour varier, il est également possible de réaliser de la même façon une excellente tarte aux pommes.

Bien laisser refroidir et placer au réfrigérateur. Avant de servir, n’hésitez pas à saupoudrer votre tarte d’un peu de sucre glace. Ensuite, régalez-vous!

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Virée à deux en Italie

Et voilà, les vacances sont déjà finies… une semaine c’est bien trop court et vu le temps qu’il fait ici, je n’ai qu’une envie, c’est de refaire ma valise et repartir, mais avant, il faut quand même que je vous raconte un peu notre virée à deux… Je vous préviens, ça risque d’être un peu long…

Histoire de changer d’air (moins de pollen pour moi au bord de la mer) et d’aller chercher un peu de soleil, j’ai réservé début mai un séjour d’une semaine du 20 au 27 mai dans l’hôtel où nous avions passé nos vacances l’année dernière à Caorle http://www.villes.co/italie/ville_caorle_30020.html

Le Park Hotel Pineta http://www.parkhotelpineta.it/ est un très bel hôtel, très bien situé au bord de la Spiaggia di Levante. On y est très bien accueilli et tout y est fait et pensé pour qu’on y passe un séjour plus qu’agréable. La preuve, c’est qu’on y est retourné pour la deuxième fois consécutive tellement nous avions été ravis de notre premier séjour l’année dernière. D’ailleurs, rien de tel que des photos un peu plus bas dans l’article pour vous montrer ce très bel établissement plutôt que trop de blablas….

Mais avant d’arriver à Caorle et d’y passer de bons moments, nous avons du « surmonter » (mdrrrrrr) quelques épreuves…

Pour ne pas perdre un jour, j’avais réservé une nuitée via Booking.com à Sirmione et nous sommes partis le 19 mai au matin pour faire le voyage en deux étapes et en profiter pour visiter Sirmione sur les rives du Lac de Garde.

Partis avant 8h30 le matin, en roulant normalement, mon gps indiquait que nous devions arriver aux alentours de 15h30 maximum, ce qui nous laissait le temps de visiter la ville et de profiter de ses magnifiques paysages. Seulement,  c’était sans compter le passage du fameux tunnel du Gothard, sur les départs en vacances des allemands, sur un car qui a pris feu dans le tunnel du San Bernardino qui a forcé les autorités à dévier tous les allemands qui partaient en vacances vers le tunnel du Gothard, sur les travaux, etc.

A 28km du fameux tunnel de près de 17km de long, nous voilà stoppés net dans notre élan… arghhhhhhhhh. J’allume la radio et apprends que nous devrions en avoir pour 4h d’attente avant d’avoir le droit de pénétrer sous ce tunnel. Avec le recul, je pense que les prévisions de 4h d’attente annoncées à la radio étaient « psychologiques » (sans doute se sont-ils dit que c’était un délai d’attente psychologiquement « acceptable » pour les voyageurs), car en réalité, ce sont 7h que nous avons mis pour atteindre le tunnel (faites le calcul….28km en 7h, un record du monde de la lenteur en voiture je suppose mdrrrrrrrrrrr).

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Au final, nous sommes arrivés à Sirmione à 22h50 non sans avoir pris soin de contacter l’hôtel en voyant le temps passer et la nuit arriver pour les avertir de notre important retard histoire de ne pas se retrouver sans point de chute le soir après cette journée de voyage plutôt stressante et éreintante.

Cependant, on n’était pas encore au bout de nos peines. J’avais choisi l’hôtel Broglia http://www.hotelbroglia.it/hotel/ vanté sur Booking.com pour sa très bonne situation, ses belles chambres, sa propreté, etc… Arrivés sur place, tout correspondait à ce que j’avais lu sur le site SAUF notre chambre qui ne correspondait en rien aux photos de la chambre que j’avais sélectionnée et réservée, à part le prix à payer, 160 euros pour une nuit et un petit déjeuner. On s’est donc retrouvés, crevés de la route, dans une chambre délabrée, avec les prises arrachées des murs, le papier peint taché qui se décollait des murs, les portes de la douches qui étaient cassées et qui ne coulissaient pas, une décoration plus que vieillotte…  Je pense que si nous étions arrivés à 15h30 comme prévu, jamais je n’aurais laissé passer ça, mais là vu l’heure et notre état de décrépitude, on a préféré en rire et se mettre au lit direct en se disant que demain était un autre jour. Je n’ai d’ailleurs pas eu le réflexe de prendre des photos de la chambre.. à quoi bon.

On a quand même bien dormi, le petit déjeuner était plus que sympa ainsi que le personnel, l’établissement était très beau et je suppose que les autres chambres non réservées via booking.com et pour de plus longs séjours étaient bien plus belles et dans un meilleur état que la nôtre. Ca ne nous a toutefois pas empêché de profiter et de visiter Sirmione, de faire un tour de la presqu’île en bateau et de se dire qu’il fallait y revenir et approfondir les visites après en voir pris plein les yeux.

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Sirmione sur le Lac de Garde

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Il était ensuite temps de reprendre la route pour les un peu moins de 300km qui nous restaient à faire pour parvenir à notre destination finale, Caorle, aussi nommée la Perle de l’Adriatique.

Comme l’année dernière, nous avons bénéficié d’un accueil très chaleureux au Park Hotel Pineta et avons eu la chance de pouvoir profiter d’une chambre entièrement rénovée à la décoration très classe et moderne.

Il ne nous restait plus qu’à nous installer et commencer à profiter de notre virée à deux en Italie.

Au programme de la semaine :

Allez, je vous montre quelques photos de notre semaine pour vous donner envie…

Le Park Hôtel Pineta à Caorle http://www.parkhotelpineta.it/

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Notre chambre Bellavista

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Gastronomie italienne….

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Venise et le Café Florian… 32 euros pour un latte macchiato, un capuccino et l’honneur d’écouter les musiciens qui jouent dans la galerie du café… on ne vit qu’une fois ;o)

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Paysages Suisses à l’aller et au retour…

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La plage à Caorle… et Caorle by night..

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Et voilà… j’ai encore des tonnes de photos et de vidéos mais j’ai peur de vous bassiner… en attendant, j’espère que je vous ai donné envie. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires et/ou questions, je me ferai un plaisir de vous répondre.

 

Les sablés préférés de Florence et ses enfants

Aujourd’hui, même si ce n’est pas vraiment la saison… car après tout on mange ce qu’on aime quand on veut non… je vous propose la recette de mes sablés à la noisette à la demande pressante de Florence et ses enfants qui les ont adorés pendant les fêtes de fin d’année.

Pour les faire, il vous faudra :

250g de beurre
500g de farine
250g de sucre (bien souvent je n’en mets que 200g)
250g de poudre de noisettes grillées (que j’achète chez Grand Frais)
1 sachet de levure chimique
3 oeufs (moyens)

Dans un très grand saladier si vous travaillez la pâte à la main ou dans la cuve de votre robot, mélanger le beurre ramolli, le sucre, les oeufs et la poudre de noisettes.

Ajouter ensuite la farine et la levure chimique et mélanger (à la main de préférence histoire d’éviter de faire surchauffer votre robot vu les quantités) jusqu’à obtention d’une pâte homogène puis former une boule.

La placer entre 2 feuilles de papier cuisson et aplatir la pâte à l’aide d’un rouleau à pâtisserie sur une épaisseur d’à peu près 5mm puis emporte-piècer avec les formes que vous voulez.

Placer vos formes sur une plaque recouverte de papier cuisson ou d’une toile silpat et mettre à cuire dans un four préchauffé à 180°C pendant une dizaine de minutes jusqu’à ce qu’ils soient dorés. Le temps de cuisson dépendant toujours des fours, n’oubliez pas de surveiller la cuisson de vos petits biscuits.

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