Brunch de Pâques

Hello tout le monde,

à quelques jours de Pâques, je me suis enfin décidée à faire un brunch pour changer.

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Vu qu’en général les enfants sont de sorties le samedi soir et qu’ils se lèvent tard pour venir manger, je me suis dit que le brunch serait le compromis idéal pour les régaler.

Du sucré (brioches, gaufres, pancakes…), du salé (pains maisons, quiches, charcuteries, fromages…), du froid (diverses salades, une panzanella*…), du chaud (une soupe, des grillades, des pommes de terres rôties…) et hop l’affaire est faite.. seulement, organiser un brunch ça se réfléchi à l’avance car il faut penser à ce qui pourrait plaire à tout le monde. Ensuite, il faut faire un choix entre toutes les recettes possibles puis dresser sa liste de courses pour ne rien oublier.

*PANZANELLA à la Burrata

400g de tomates
2 oignons rouges
1 concombre
1 citron
80g d’olives noires à la grecque
2 boules de burratta
du pain rassis
du vinaigre
4 càs d’huile d’olive
2 brins de thym
2 gousses d’ail
poivre et sel

Couper les tomates dans un saladier, ajouter les oignons rouges émincés, le concombre pelé, épépiné et coupé en tranches, le pain coupé en cubes (si vous n’avez pas de pain rassis, n’hésitez pas à passer vos tranches de pain au four ou au grille pain), les olives et les gousses d’ail pressées.

Ajouter le jus de citron, 3 càs d’huile d’olive, du vinaigre et enfin du sel et du poivre. Bien mélanger et laisser reposer au moins 30 minutes avant de servir.

Ensuite, il ne reste plus qu’à se faire un petit planning des préparations à faire en prenant en compte les différents temps de cuisson et aussi ce qui peut se préparer à l’avance.

Par exemple, la veille,  préparer les beurres aromatisés, les vinaigrettes, les marinades, cuire des oeufs durs, préparer la soupe, cuire des gaufres, précuire les pommes de terre à rôtir…

Le jour même, pétrir les pâtes à pain et à brioche et les laisser lever pendant que vous faites cuire vos pancakes*.

Puis préparer les plateaux de charcuteries et de fromages et penser à mettre en cuisson les brioches et les pains environ une heure avant l’heure prévue du brunch.

* PANCAKES à la ricotta et au citron

150g de farine
3 càs de sucre vanillé
2 càc de levure
1 pincée de sel
24 cl de lait caillé
250 g de ricotta
1 jaune d’oeuf
les zestes de deux citrons
environ 60 ml de jus de citron
2 blancs d’oeuf
du beurre fondu pour la cuisson des pancakes

Dans un saladier mélanger les poudres (farine, sucre, la levure et le sel).

Dans un second saladier battre le lait caillé avec la ricotta, le jaune d’oeuf, le jus de citron et les zestes et bien mélanger.

Encore à part, monter les deux blancs d’oeuf en neige bien ferme et les incorporer dans le mélange à la ricotta.

Incorporer les poudres et bien mélanger. Si certains grumeaux restent ce n’est pas grave.

Il ne vous reste plus qu’à cuire vos pancakes dans une poêle anti-adhésive bien chaude et beurrée.

 

Pour les grillades, vu que cette année on nous promet un temps radieux pour Pâques, laissez votre mari s’en charger… après tout, il peut bien aussi mettre la main à la pâte non?

Et voilà, avec tout ça, vous devriez pouvoir ravir tout le monde autour de votre table. Sauf que vous allez me dire, et pour le dessert? Et bien je vous dirais, faites simple…. les fraises (les ciflorettes en particulier) sont exquises, faites-en une salade par exemple ou attaquez-vous à un fraisier maison que vous pourrez également préparer la veille avec un biscuit madeleine comme base de gâteau, une bonne crème diplomate à la vanille et des fraises.

Cette année, je vais refaire mes moutons de Pâques… ils sont constitués de mousses au chocolat (blanc et noir) que je coule dans mon moule « Boule de Noël » et entre lesquelles je viens insérer des disques de génoises. Je les place au congélateur et la veille du repas, je les démoule et viens garnir mes moutons de plots de chantilly. Je colle deux yeux en sucre sur un petit oeuf en chocolat et je forme les deux oreilles à l’aide d’une pâte d’amande marron. Ca n’a rien de bien compliqué et l’air de rien ça en jette 😉

Je vais tâcher de rédiger encore quelques recettes d’ici ce soir afin de venir vous les déposer dans cet article si jamais vous voulez les reproduire chez vous.

En attendant, je vous souhaite d’avance de joyeuses fêtes de Pâques. Faites-vous plaisir et je suis sure que vos convives seront ravis par votre menu.

La famille va s’agrandir…

Coucou… dans quelques jours, notre famille va s’agrandir…. 6 poulettes vont arriver à la maison.

Ca fait un bail qu’on y pense et mon chéri leur a d’ailleurs construit de ses petites mains un joli poulailler.

Il parait que c’est simple d’élever des poules, mais j’avoue que moi ça me fait flipper un peu. Vu que nous sommes à la campagne, j’ai peur qu’elles se fassent attaquer par les fouines, les renards ou autres prédateurs.

Ensuite, la question qu’on se pose, coq ou pas coq? Il paraît que ces messieurs font régner l’ordre dans le poulailler et établissent une hiérarchie dans le harem mdrrrrrrrrrrr et si on prend un coq, est-ce que les voisins vont râler si monsieur les réveille au lever du soleil?

 

Enfin bref, le 29 mars prochain il y aura un peu plus de vie dans le jardin et en attendant on va essayer de s’informer au maximum pour savoir ce qui est bien ou pas pour ces petites bêtes.

 

 

 

Nous avons choisi 3 poules pondeuses rousses, idéales pour les débutants comme nous, qui pondent jusqu’à 300 oeufs à coquille brune par an et 3 poules Leghorn blanches originaire d’Italie qui pondent jusqu’à 320 oeufs à coquille blanche par an.

J’ai déjà hâte de les voir pondre et de pâtisser avec les bons oeufs frais de nos poulettes élevées en plein air.

Je ne manquerai pas de vous tenir au courant de cette nouvelle aventure avec nos futures poulettes. Si vous avez des conseils, nous sommes bien entendu preneurs ;o)

Cocottes rue Chimay à Luxembourg

Je vous avoue que la semaine dernière, j’ai été super gâtée… non seulement je suis allée assister à des workshops culinaires et pâtissiers au Spring Break mais j’ai aussi eu la grande chance et le privilège d’être invitée jeudi, en compagnie d’autres blogueurs et de la presse, à découvrir la nouvelle carte de printemps chez Cocottes à Luxembourg.

Je ne sais pas où ils vont chercher leurs idées, mais chez Cocottes, impossible de se lasser de leurs plats tant ils sont variés, sains, équilibrés et renouvelés sans cesse.

A base de produits frais, sans gluten, sans lactose, des soupes, des sandwiches, des salades, des wraps, des bocaux, des quiches, des plats classiques, une carte incroyable. Impossible de ne pas trouver quelque chose qui convienne.

En fait le plus compliqué chez Cocottes, c’est de faire son choix !

Si vous ne connaissez pas encore ces restaurants, je vous invite.. que dis-je… je vous recommande d’y aller vite car non seulement vous serez ravis par la carte, mais vous mangerez aussi dans un endroit convivial, cosy et chaleureux, un peu comme à la maison.

Je vous laisse vous régaler avec les photos que j’ai prises sur place au restaurant Cocottes, rue Chimay à Luxembourg, à deux pas de la Place d’Armes, du Palais Grand Ducal et de nombreux jolis endroits à découvrir au Centre de la Ville de Luxembourg.

 

Le restaurant rue Chimay

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La belle table joliment décorée qui nous était réservée….

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Certains des plats que nous avons pu déguster

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Et si vous y allez, n’oubliez pas de participer au Spring Contest en prenant un de vos plat en photo en utilisant le cadre « insta » en carton disponible en boutique comme ci-dessous par exemple, mais en visant mieux que moi… ça ne devrait pas être compliqué mdrrrrrrrrrrrrrrrrrr

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Spring Break à Luxexpo The Box

Hello tout le monde, ce jeudi et vendredi je suis allée faire un tour à la Foire Sping Break à Luxexpo The Box, avec mon amie Malou du blog https://liebemitbiss.com/

Comme nous sommes toutes les deux passionnées par la cuisine et/ou la pâtisserie et parce que c’est à chaque fois un événement à ne pas manquer, comme l’année dernière nous n’avons pas raté l’occasion de nous inscrire aux différents workshops qui étaient planifiés en fin de journée le jeudi et le vendredi.

Jeudi, le premier workshop dont le thème était « Les légumes dans toutes leurs facettes » a été dirigé par le Chef Carlo Sauber, enseignant de cuisine et juge culinaire international, qui nous a montré différentes façon de travailler les carottes avec les légumes du producteur local Les Paniers de Sandrine http://www.lespaniersdesandrine.lu/

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Le second workshop, intitulé « La table des grands Chefs – Des créations sucrées pour clôturer un repas en beauté » était animé par le Pâtissier Yves Jehanne de chez Traiteur Steffen « Le goût du bonheur » https://steffen.lu/info-presse/gout-bonheur-made-by-steffen/ également Président de l’Association les Sucrés du Lux dont je vous ai déjà parlé à plusieurs reprises. Yves Jehanne nous a présenté son délicieux mille feuille revisité composé d’un crémeux à la badiane, d’une sauce au caramel beurre salé et d’une excellente glace vanillée. Un dessert tout en subtilités, vraiment exquis.

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Vendredi soir, le premier workshop auquel nous avons assisté était à nouveau celui de Yves Jehanne qui nous a présenté sa revisite de la Tarte citron meringuée, réalisée avec des citrons Meyer et une gelée de goyave, qui était aussi exquise pour les yeux que pour le palais. Une explosion de saveurs en bouche et de jolies couleurs pour les yeux.

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Et enfin, pour terminer, le dernier workshop mais pas des moindres, bien au contraire, celui de Joël Schaeffer dont le restaurant est situé à Mertert https://www.joel-schaeffer.lu/fr/ qui nous a proposé son « Mariage parfait entre gastronomie, jus locaux et eaux de vie », les jus locaux, vinaigres et eaux de vie venant de la maison Georges Schiltz à Rosport http://www.tudorsgeeschter.lu/index.php/kontakt.

Joël Schaeffer nous a préparé :

un filet de truite marinée au gros sel, zestes de citron et aneth sur son lit de salade de fenouil mariné à l’huile d’olive, oignon rouge et vinaigre de sureau et croquette de Kachkäse à la truffe.

Suivi d’un poulet jaune fumé au foin, cuit en ballotine à basse température au bain marie sur son risotto au jus de pommes et coings et carottes glacées à la liqueur de miel pimentée.

Pour finir en apothéose, nous avons eu droit, en dessert, à un moelleux au chocolat avec son parfait à la vanille agrémenté soit d’une liqueur de sureau ou d’une liqueur de café speedy et d’un bel éclat de meringue séchée.

Durant tout le déroulé du workshop, M. Schiltz nous a également fait découvrir quelques-uns de ses produits tels que sa liqueur de mirabelle, ses vins, ses jus de raisin. De très jolies découvertes et un excellent moment passé à se régaler autant avec les yeux que les papilles. Vivement l’édition du Springbreak 2020!

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Cupcakes

Les cupcakes, encore quelque chose de pas très compliqué à faire et qui ravit tout le monde. Recouverts de ganaches au chocolat montées, de crème chantilly, de crème au beurre, pâte d’amande…. c’est toujours un délice autant pour les yeux que pour les papilles et les enfants les adorent.

Je vous donne ici la recette pour en faire au moins une bonne quarantaine de minis… pour la version gros cupcakes, vous en ferez une quinzaine seulement avec la même recette. Le nombre va donc dépendre de la taille de vos caissettes (récipients dans lesquels on cuit les cupcakes).

125g de beurre
125g de sucre en poudre
150g de farine
4 oeufs
1 sachet de levure chimique
de l’extrait de vanille ou du jus de citron (voire des zestes si vous aimez ça)

Préchauffer le four à 170°C

Faire fondre le beurre au micro onde ou dans une casserole et le laisser refroidir.

Séparer les blancs des jaunes d’oeufs.

Battre les jaunes avec le sucre et les faire blanchir, ajouter le beurre fondu refroidi (tiède) puis la farine et la levure et mélanger pour obtenir une belle pâte homogène.

Ajouter l’extrait de vanille, ou le jus de citron et/ou les zestes.

Monter les blancs en neige et les incorporer dans la pâte à l’aide d’une maryse.

Pour travailler proprement, je verse ma pâte dans une poche à douilles (sans douille), puis je découpe la pointe de ma poche et répartis la pâte dans mes caissettes. Ne remplir qu’aux 3/4 car les cupcakes vont gonfler à la cuisson (un peu comme les madeleines).

Cuire environ 20 minutes, mais surveillez bien la cuisson. Diminuez ou rallongez un peu le temps de cuisson selon votre four. Puis décorer comme vous aimez ou manges-les tels quels.

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Caramel à l’orange au beurre salé

Je ne sais pas vous, mais moi j’adore le caramel au beurre salé et le caramel à l’orange au beurre salé encore plus.. je ne vous raconte même pas. C’est tellement bon qu’on le mangerait à la petite cuillère…. Oh mon Dieu!!!!!!!!! C’est pas bon pour ce que j’ai ça mdrrrrrrr

Essayez de le faire, vous verrez… tout simplement sur des crêpes, sur une tartine, des gaufres ou bien sur un fond de tarte au chocolat… miaaaaammmmmm

Voilà la recette de ce nectar :

200g de sucre semoule
170g de beurre salé
30cl de jus d’orange (soit des oranges pressées maison ou du jus d’orange 100% sans rien d’ajouté)

Commencer le caramel en ne mettant que la moitié du sucre bien réparti sur le fond de votre casserole et le faire chauffer à feu moyen pour éviter qu’il en brûle.

Pour avoir un bon caramel, ne jamais se précipiter et bien prendre son temps.

Quand le sucre commence à devenir transparent et liquide, ajouter le reste du sucre.

NE PAS remuer avec quoi que ce soit dans la casserole.. faire tourner le sucre en soulevant la casserole si nécessaire mais surtout ne pas remuer avec une cuillère.

Quand votre caramel est bien blond, chauffer le jus d’orange sans le faire bouillir. Cette étape est nécessaire pour éviter le choc thermique entre les deux liquides. Verser le jus d’orange sur le caramel en faisant bien attention aux éventuelles projections et à ne pas se brûler. Remuer avec une cuillère en bois.

Remettre ensuite immédiatement sur feu moyen et ajouter le beurre salé en morceaux.

Laisser épaissir tout en continuant à remuer pour obtenir un beau mélange sans morceaux de sucre cuit.

Verser ensuite votre caramel dans un joli pot et dégustez-le comme vous voulez. Il se conserve très bien au réfrigérateur. S’il devient trop dur en refroidissant, passez-le quelques secondes au micro-onde ou réchauffez-le quelques minutes dans un bain marie.

La Ginger… ma tarte au chocolat gingembre citron vert

Je m’étais inscrite au concours de la meilleure tarte au chocolat organisé par Zodio sur le Salon du chocolat à Metz le week-end du 28 février au 3 mars.

Pour cette occasion, j’ai cherché à sortir un peu des recettes et « mariages de saveurs » habituels et comme d’habitude ce sont mes copines de la piscine qui ont fait les cobayes et goûté les différentes tentatives avant le concours.

Le problème, c’est qu’elles n’ont pas réussi à départager les différentes recettes que je leur ai fait tester. Elles les ont toutes aimées….

Pour chaque tarte, la recette de la pâte était identique. Une pâte sablée aux noisettes torréfiées. Pour le remplissage, j’avais une recette « façon flan », un recette avec du caramel au beurre salé et des noisettes caramélisées, une autre recette avec un caramel à l’orange au beurre salé avec des petits morceaux d’oranges confites et des éclats de noisettes caramélisées et la dernière au gingembre et citron vert.

Le jour du concours, ne sachant pas encore celle que j’allais faire, j’ai pris tous les ingrédients nécessaires à la réalisation de toutes les recettes. Et au moment de démarrer, je me suis dis que tout le monde allait aller vers des goûts connus, des valeurs sûres. Du coup, j’ai réalisé ma ganache au gingembre et citron vert.

J’ai pris un gros risque car tout le monde n’aime pas le gingembre et je reconnais que moi-même d’habitude je n’en suis pas fan, mais j’avoue que j’adore pourtant cette ganache qui sort de l’ordinaire.

Voici ma recette :

Pour la pâte

250g de beurre mou
250g de poudre de noisettes torréfiées
200g de sucre
3 oeufs
500g de farine
1 sachet de levure chimique

Mettre le beurre mou, la poudre de noisettes, le sucre et les oeufs dans le bol du robot et battre avec la feuille.

Quand tout est bien amalgamé, ajouter la farine et la levure en plusieurs fois et soit continuer à battre avec le robot soit amalgamer à la main sans trop travailler la pâte.

Sortir la pâte du bol, faire une boule, l’aplatir, la filmer au contact et laisser reposer au frigo pendant au moins une heure.

Avec cette quantité, vous pouvez facilement faire 4 fonds de tartes de 22 cm de diamètre et même quelques biscuits secs.

Donc n’hésitez pas à diviser la recette par deux ou trois si vous ne voulez pas en faire autant.

Au bout d’une heure, reprenez votre pâton et détaillez le en 4 portions à peu près égales (+/- 400g le pâton).

Gardez un pâton et replacez les 3 autres au frigo.

Abaissez votre pâte et venez la foncer dans votre cercle perforé que vous aurez beurré au préalable, égalisez bien les bords et placez le tout au congélateur au moins pendant 30 minutes afin d’éviter que votre pâte ne fuie par le dessous à la cuisson.

Préchauffer le four à 165°.

Avant de cuire votre pâte à blanc (c’est à dire sans garniture), piquez-la et recouvrez-la d’un rond de papier cuisson sur lequel vous viendrez déposer des billes de céramique ou des légumes secs pour empêcher la pâte de trop gonfler à la cuisson.

Enfourner pour 20 minutes avec les billes et retirer ensuite les billes et la feuille de cuisson. Remettre au four à 175° pendant 6 à 8 minutes selon votre four.

Pour la ganache

200g de crème liquide
200g de chocolat de couverture à au moins 60%
1 citron vert
8 à 10 grammes de gingembre frais

Zester le citron et réserver les zestes pour la décoration. Presser le citron et réserver le jus.

Eplucher le morceau de gingembre et le râper finement et réserver.

Mettre les galets de chocolat dans un cul de poule et mettre à chauffer la crème liquide tout doucement avec le gingembre râpé.

Une fois la crème arrivée à ébullition, venir la verser sur le chocolat. Attendre une minute et mélanger avec une cuillère en bois ou une maryse mais surtout pas avec un fouet en partant du centre jusqu’à obtenir une belle ganache brillante.

Ajouter le jus du citron vert à l’aide d’un chinois afin d’éviter d’avoir des pépins ou des morceaux de pulpe et bien mélanger à nouveau la ganache avec une maryse.

Il ne vous reste plus qu’à venir couler la ganache dans votre fond de tarte refroidi et décerclé,  la lisser et la faire prendre au frais avant de la décorer et de la déguster.

Les Rois du gâteau – saison 2

Dernièrement, c’est-à-dire lundi dernier, le 25 février, je suis enfin passée dans l’émission les Rois du gâteau – saison 2 sur M6. Cela faisait quasiment un an que nous attendions (tous les candidats) toutes et tous ce « grand moment ».

En fait, c’est horrible de se voir à la télévision… j’ai presque eu peur mdrrrrrrrrrrrrr… Déjà qu’en sortant de là on se dit, mais pourquoi j’ai pas dit çi, mais pourquoi j’ai pas fait ça.. en se revoyant c’est encore pire. Je pense que tout le monde est pareil. Cependant, ça a été une sacrée belle expérience humaine riche en belles rencontres et nouvelles amitiés entre autres avec Elodie, Laura, Leslie, Natacha, Céline, Floriane…

A refaire? Pour l’expérience humaine et les belles rencontres, je dis oui, oui, oui et je signe des deux mains, mais pour le reste, j’ai du mal à répondre car ça reste une aventure qui coûte assez cher. Même si quand on aime on ne compte pas, les multiples aller-retour et séjours à Paris, pour le casting dans un premier temps, puis pour le tournage dans un second temps ne sont hélas pas pris en charge par la production.

Et puis, il faut bien comprendre que c’est une émission de télévision et que ce n’est pas tant votre gâteau qui va compter, mais souvent ce sont plutôt les personnalités, les histoires, ce qui fait de l’audimat.. Donc, si vous n’êtes pas sûre de vous, de vos capacités, vous risquez de repartir très déçu(e)s et de remettre votre passion en question, ce qui serait vraiment dommage.

Quand on sait tout ça, on se dit : « c’est le jeu ma pauvre Lucette » mais ça reste quand même une très belle opportunité de présenter son gâteau à deux grands Chefs, Cyril Lignac et Frédéric Bau, pour ne pas les citer, et de passer un bon moment en leur compagnie en voyant la tête qu’ils font en dégustant votre gâteau.

Même si malheureusement mon « Amore Mio » n’a pas été retenu pour aller plus loin, Cyril Lignac m’a dit qu’il était très bon mon gâteau et que s’il passait dans ma région il viendrait jusque chez moi rien que pour en manger parce que c’est le genre de gâteau qu’il adore… mais dommage que ça ait été coupé au montage.

Ce qui compte le plus pour moi, c’est que ma famille, mes ami(e)s et tous ceux qui les ont goûté adorent mes gâteaux et ça, ça vaut tout l’or du monde !

 

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Les gaufres de Solange

Coucou tout le monde, aujourd’hui je partage avec vous la recette de gaufres d’une amie, Solange, qui vit actuellement en Italie mais qui est originaire de la Gaume en Belgique tout comme moi.

Pour tout vous dire, il y a un peu plus de 30 ans, dans les années 84-85, Solange a été ma prof d’allemand à l’Athénée Royal de Virton et grâce à Facebook nous nous sommes retrouvées et restons depuis en contact. Comme quoi les réseaux sociaux, ça a parfois du bon, non?

En tous cas, je la remercie pour sa recette de gaufres. Elles sont très légères et surtout très peu sucrées, ce qui est super pour mon chéri qui doit « ralentir » sur le sucre. Elles se conservent plusieurs jours dans une boîte hermétique, si tout le monde ne s’est pas jeté dessus immédiatement, et il suffit de les passer quelques secondes au grille pain pour qu’elles soient à nouveau aussi croustillantes que quand elles sortent du gaufrier.

Un peu de sucre glace, un peu de chantilly, du chocolat fondu et hop, vous avez de quoi faire plaisir à beaucoup de monde 😉

Voici sa recette :

500 g de farine fermantante
2 paquets de sucre vanillé
200 à 250 g de beurre
4 à 6 œufs
1 litre de lait
1 pincée de sel

Mettre la farine dans un saladier et y délayer le litre de lait petit à petit avec un batteur électrique.

Faire fondre le beurre.

Casser les oeufs, séparer les blancs de jaunes et réserver les blancs.

Ajouter les jaunes d’ œufs, le sucre vanillé et le beurre fondu ainsi que le sel en continuant à battre le tout pour obtenir une belle pâte homogène. Au besoin, si grumeaux, ne pas hésiter à passer un petit coup de mixeur plongeant.

Battre les blancs d’ œufs en neige et les incorporer délicatement à la pâte à l’aide d’une maryse.

Bien chauffer le fer, ne pas le graisser.

Ne remplir qu’un seul côté.

Fermer le fer et le tourner.

Petite astuce.. le saviez-vous?

Si la gaufre adhère au fer, nettoyer celui-ci en se servant d’une pâte liquide faite avec de l’eau et de la fécule de pommes de terre. Le gâteau de fécule étant cuit, on l’enlève et il entraîne avec lui toutes les impuretés qui souillent le fer.

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Les bonnes gaufres de Liège

Quand il fait froid, on a envie de douceur et quoi de mieux que de bonnes gaufres pour se réconforter.

Ca faisait un bail que je n’en n’avais pas fait et vu que je suis en train d’essayer de classer mes recettes et que je suis tombée dessus, je me suis décidée à me lancer dans la réalisation des gaufres. Ca tombait bien, j’avais tous les ingrédients nécessaires à la maison.

Pour une trentaine de gaufres, il va vous falloir :

500g de farine T55
30g de sucre semoule
10g de levure sèche de boulangerie (type briochin)
2 oeufs
220g de lait 1/2 écrémé
285g de beurre (personnellement j’utilise une moitié de beurre doux et l’autre moitié de beurre demi-sel mais c’est facultatif)
250g de sucre perlé

Même s’il est possible de pétrir la pâte à la main, le plus simple est d’utiliser un robot pâtissier, sinon bonjour la quantité d’huile de coude dont vous aurez besoin!

Donc, verser la farine, le sucre semoule et la levure dans le robot et commencer à mélanger les poudres avec le crochet.

Ajouter les oeufs, le lait et pétrir une bonne dizaine de minutes.

Ajouter le beurre coupé en dés et pétrir à nouveau la pâte pendant 5 bonnes minutes.

Couvrir le bol avec du film alimentaire et laisser lever la pâte pendant 1h30.

Au bout du temps de pause, ajouter les grains de sucre à la pâte et pétrir à nouveau quelques minutes, toujours avec le crochet, le temps d’incorporer tous les grains à la pâte.

Voilà, votre pâte est prête à cuire.

A l’aide de deux cuillères à soupe, prélever de la pâte et former des pâtons de 60g environs et les rouler dans du sucre glace.  Vos gaufres caraméliseront encore mieux à la cuisson avec cette étape.

Je vous conseille de préparer tous vos pâtons comme ça vous n’aurez plus qu’à les cuire.

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N’oubliez pas de surveiller la cuisson de vos gaufres, car si elles sont trop cuites, elles seront un peu dures. Si vous les aimez bien tendres, ne les laissez pas trop longtemps dans le gaufrier.

Vous voyez, ce n’est pas compliqué de se régaler…. miammmmmmm