Le Temps des Vendanges au Casino 2000

Aujourd’hui, je vais vous parler du restaurant Purple Lounge https://www.casino2000.lu/restaurants/purple-lounge du Casino 2000 à Mondorf-les-bains https://www.casino2000.lu/.

Hier soir, j’étais conviée, en compagnie d’autres blogueurs, à venir y découvrir en avant-première le Menu d’Automne du thème le Temps des Vendanges.

Depuis 2006, date où il a été inauguré, le restaurant Purple Lounge séduit et charme à la fois les épicuriens, les gastronomes et les mélomanes. Dans des ambiances variées et contemporaines, il est le lieu idéal pour se retrouver entre amis et passer un agréable moment sous le signe de la convivialité et de la distraction comme nous l’avons fait hier soir.

Musique et restauration vont de paire au coeur du Purple Lounge. C’est l’endroit parfait pour les mélomanes et les gourmets qui peuvent bénéficier de formules d’excellent rapport qualité/prix tout en profitant des concerts Nostalgie (soirée hommage aux grands noms de la chanson française et de la musique internationale) ou des soirées Tremplin Idols où de nouveaux talents montent sur scène, sans oublier les vendredis et samedis où les DJ sessions mixent la musique des années 80.

Au cours du repas d’hier, nous avons pu déguster un excellent menu composé en entrée de Pâté au Riesling suivi d’un fabuleux Coq au Vin accompagné de sa Purée de pommes de terre à l’Huile de Truffe et, pour finir en beauté,  en dessert et surtout de saison, une belle part de Tarte aux Pommes & Noix (exquise!!!) et sa crème anglaise, le tout accompagné de très bons vins. Un régal!!!

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Le thème du moment, le Temps des Vendanges, donc bien de saison, est prévu du 25 septembre au 8 octobre. Vous avez jusqu’au 1er octobre pour aller profiter du menu que j’ai eu l’avantage de pouvoir déguster en avant-première hier soir, intitulé Menu D’Automne et que je vous recommande chaudement, car dès le 2 octobre et ce jusqu’au 8 octobre c’est le Menu Vigneron qui le remplacera et qui sera composé d’un Velouté de Potiron, d’une Blanquette de Dinde aux Champignons et pour finir en beauté d’une part de Tarte aux Prunes Streusel, tout aussi recommandable j’en suis plus que certaine.

Des produits à la fois classiques et originaux auxquels simplicité et saveur s’associent. La recette idéale pour un repas réussi et convivial qui ravira chacun.

Sinon, le Purple Lounge vous propose en permanence 3 thématiques :

  • des plats internationaux comme le Carpaccio, le Tartare de Boeuf ou la Salade César
  • des plats bistrots français tels que la fameuse Cocotte
  • et enfin des produits de tradition régionale luxembourgeoise dont notamment la Bouchée à la Reine

Si vous y allez, en famille ou avec des amis, surtout n’oubliez pas de venir accompagnés d’un bon appétit également car les portions servies sont plus que gourmandes et, ce qui ne gâchera pas votre plaisir, en plus d’être gourmandes vous pourrez constater que toutes les formules du restaurant sont aussi très attractives.

L’offre de prix du Purple Lounge permet de déjeuner ou de dîner d’un menu composé d’une entrée, d’un plat et d’un dessert pour un budget situé entre 15 et 21 euros seulement sans oublier les formules à 15,90 euros et 18,90 euros et le menu du jour à 13,90 euros qui défie toute concurrence au niveau qualité/prix.

Enfin, pour finir la soirée en beauté, après ce repas aussi excellent que copieux, nous avons pu prendre part au concert La Folie des années 80 (toute ma jeunesse!!!!) avec Cookie Dingler, Jean-Pierre Mader et William de « Début de soirée » dans la salle le Chapito. Quelle ambiance!!! Impossible de ne pas danser, chanter…

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Je tiens à remercier Mme Anne Leick, la directrice Marketing & Commercial du Casino 2000 ainsi que sa collaboratrice Mme Catherine Noël pour m’avoir invitée et permis de passer une excellente soirée en leur compagnie.

Le Casino 2000 à Mondorf-les-bains, un très bel endroit dont je vous parlerai plus en détail dans un autre article car il mérite d’être connu.

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Restaurant Le Plëss

En tant que participante au Blog Award 2017 http://blogaward.lu/fr/award-2/ organisé par le magazine Kachen,  j’ai de nouveau été conviée avec mes autres collègues blogueuses à une soirée pleine de belles surprises, à l’Hôtel Le Place d’Armes pour y découvrir la nouvelle rôtisserie à peine ouverte, rencontrer et faire la connaissance de son designer et profiter d’une petite visite guidée de quelques chambres de ce charmant hôtel.

Il y a quelques jours, après plusieurs mois de rénovation, le restaurant Le Plëss, situé au sein de l’Hôtel Le Place d’Armes au centre ville de Luxembourg, a rouvert ses portes.

 

Aux commandes de la cuisine et en contact direct avec les convives, grâce à sa cuisine et sa rôtisserie ouvertes sur la salle à manger, le Chef Fabrice Salvador, fidèlement secondé par Mathieu Morvan, dévoile ses propositions culinaires carnées inspirées de ses nombreuses expériences professionnelles dans le monde entier.

 

Fabrice Salvador a fait ses armes auprès des meilleures maisons françaises : l’Aubergade à Puymirol (3*), Les Jardins de l’Opéra (2*) dans sa ville natale de Toulouse, Troisgros (3*) à Roanne, les Trois Marches (2*) à Versailles et Michel Guérard (3*), à Eugénie-les-Bains.

Il vit ensuite ce qu’il appelle «Son rêve américain», à la Nouvelle Orléans, puis à Santa Barbara. Lors de ce voyage il allie produits d’exception aux nouvelles épices qu’il déniche, et affine ainsi le fil rouge de sa cuisine : expérimenter le plaisir de la découverte ! Après son passage chez Hélène Darroze au cours duquel le restaurant obtient sa deuxième étoile, on le redécouvre à Paris, en 2003 à la Table du Lancaster, où il reçoit sa première distinction au guide rouge. Toujours inspiré par la quête de nouvelles saveurs, il appellera tout naturellement son restaurant situé au Luxembourg, «L’influence des saveurs».

Un an suffit pour que sa cuisine soit à nouveau saluée d’une étoile au guide Michelin. Un peu plus à l’est, il ouvrira le «Manon» à Moscou, mais c’est sa clientèle du Grand-Duché qui aura raison de lui lorsque, conquis par le
projet culinaire au 18 Place d’armes il ramène ses couteaux au Luxembourg.

1 adresse, 3 restaurants : La Cristallerie, Le Plëss et le Café de Paris. De quoi satisfaire sa soif de partager son art et sa passion.

A la carte ou en menu, on découvre au Plëss les nouveautés concoctées par les Chefs comme le poulet de Bresse à la broche, le Babi Guling de Fabrice « comme en Indonésie », le Brisket de boeuf Wagyu australien laqué à la broche pour ne citer qu’eux.  Je vous rassure, les amateurs de poisson trouveront eux aussi leur bonheur, car les Chefs proposent également une sélection de crudos de poissons sauvages selon l’arrivage ou encore des gambas, de la langouste…

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A partager (ou pas tellement c’est bon!), on peut aussi y manger de délicieuses tapas ou encore découvrir le pain Géorgien du Plëss, qui entre nous soit dit, est une véritable tuerie!

Olivier Schanne, Chef Sommelier, quant à lui vous proposera ses coups de
cœur vin tout comme il l’a fait hier soir au cours de notre soirée.

Pour avoir eu la chance de pouvoir déguster les plats et les vins qui les accompagnaient j’en ai de nouveau l’eau à la bouche rien que de vous en parler…

Côté décor, c’est le célèbre designer Tristan Auer qui signe la rénovation du lieu.

C’est après avoir retrouvé fortuitement chez Drouot des portraits datant du XIXème siècle, du peintre Pierre-Joseph Redouté et de sa nièce Clémence Redouté, qui étaient des personnages familiers de la Place d’Armes en leur temps, que le célèbre designer a été inspiré pour le ton à donner à la renaissance du restaurant Le Plëss.

Une palette inspirée des couleurs des deux peintures plonge les convives dans une atmosphère subtilement contrastée, osant les couleurs vives et franches telles que le jaune d’or et le vert profond sur fond de gris et de blanc.

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La nouvelle rôtisserie arbore une décoration aux accents flamands émaillée de détails architecturaux contemporains et regorge de reflets malicieux que l’on découvre le long des murs comme les empreintes lumineuses d’anciens cadres recouvertes à la feuille d’argent.

Après avoir commencé sa carrière avec les plus grands maîtres des années 90, Christian Liaigre et Philippe Stark, Tristan Auer s’est démarqué de l’esprit total design de cette époque-là en développant son propre style, un classicisme graphique et épuré. Pour lui, tout est dans le détail et surtout dans la fonctionnalité de chaque élément.

Depuis 2002, date à laquelle il a ouvert son bureau de création, l’architecte d’intérieur réalise des projets prestigieux dans les domaines résidentiel et hôtelier de luxe à travers le monde pour développer leur image de marque basée sur le luxe et le « savoir faire » français.

Néoclassique dans son style mais conceptuel par son approche, Tristan Auer développe des espaces rigoureusement dessinés et élevés de détails malicieux. Il incarne la relève du style français, ayant l’art de mélanger les styles et les époques, résolument moderne tout en étant très attaché à l’esprit art décoratif, il s’est fait une spécialité du sur-mesure, de l’architecture haute-couture, ce qui fait sa réputation et son succès international.

Amateurs de goûts, si vous voulez passer un très bon moment, dans un très bel endroit empreint d’histoire, régaler tant vos yeux que vos papilles, je vous invite à vous rendre au Restaurant Le Plëss où le directeur du Restaurant, Cédric Thomas, et toute son équipe accueillent leurs convives tous les jours de 12h à 22h30 pour le déjeuner et le dîner.

Pour plus d’informations, contactez Hôtel Le Place d’Armes, 18 Place d’Armes L-1136 Luxembourg au +352 27 47 37 ou par email à marketing@hotel-leplacedarmes.com

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Mini flans vanille-citron

Rapides et simples à faire, avec ou sans pâtes, ces petits flans sont idéaux pour accompagner vos cafés gourmands.

J’en ai fait quelques-uns hier, dimanche, pour accompagner le café de 16h et on m’a réclamé ceux qui restaient en dessert à la fin du repas du soir. C’est vous dire qu’ils ont été bien appréciés.

Je dois vous dire que je n’avais pas assez de pâte feuilletée pour la quantité de crème que j’avais préparée, donc, pour ne pas jeter car j’ai horreur du gaspillage, j’ai coulé mon appareil (la crème préparée) directement dans mes petits moules en silicone. Par contre, il faut bien veiller, une fois cuits, à les placer au frais et attendre qu’ils soient bien froids avant de les démouler.

Vous allez voir comme c’est simple.. puis vous verrez comme c’est bon quand vous les aurez faits ;o)

Ingrédients

1 pâte feuilletée

200g de sucre
35g de poudre à flan (ou de farine)
1 pincée de sel
50cl de lait
1 gousse de vanille (ou de l’arôme de vanille)
4 jaunes d’oeufs
1 oeuf entier
1 jus de citron

Réalisation

Préchauffer le four à 210°

Rouler la pâte feuilletée sur elle-même bien serrée et découper des tranches de 2cm. Les aplatir avec la paume de la main et foncer la pâte dans vos moules à muffins (par exemple) puis les réserver au frais pendant que vous préparez la crème (l’appareil).

Dans un cul de poule, mélanger le sucre, le sel et la poudre à flan ou la farine.

Fendre la gousse de vanille, gratter les graines et les ajouter dans le lait avec la gousse et faire bouillir.

Clarifier les oeufs en séparant les blancs des jaunes et verser les 4 jaunes et l’oeuf entier dans le cul de poule contenant les poudres.

Mélanger et verser le lait qui a bouilli en prenant soin de retirer la gousse de vanille avant puis continuer à battre pour obtenir un mélange bien homogène.

Ajouter le jus de citron, remuez et c’est prêt.

Reprenez vos empreintes foncées avec la pâte feuilletée et versez-y votre appareil. S’il vous en reste, versez-le directement dans vos moules en silicone.

Faire cuire à 210° pendant 12 à 15 minutes selon votre four.

Vous pouvez démouler tout de suite les flans à la pâte feuilletée, pour les autres sans pâte, placez-les au frais et démoulez-les uniquement quand ils sont bien refroidis.

Surtout, ne jetez pas les 4 blancs d’oeufs qui restent, vous pouvez les utiliser dans de nombreuses recettes, comme les coques de macaron, les meringues, les langues de chat…

Un nouveau Restaurant au sein de la Philarmonie à Luxembourg

Mon petit doigt m’a dit que la Famille Um Plateau, COCOTTES et A TABLE s’est agrandie…

En effet, le Restaurant TEMPO Bar où Manger a ouvert ses portes hier soir au sein de la Philarmonie à Luxembourg.

TEMPO Bar où Manger et son Chef Morris Clip vous proposent le même concept que son grand frère Um Plateau, c’est-à-dire une carte ou rien n’est imposé, que ce soit au bar ou en salle, il est possible de siroter un verre en picorant  1 ou 2 grignotages (chaud ou froid), des entrées, des suggestions en petites portions et/ou une sélection de plat à partager… ou pas, c’est vous qui choisissez !

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Le tout dans un esprit de simplicité, de convivialité et de qualité. Pour accompagner vos mets, une sélection de vins au verre, de vins « coup de coeur » et de beaux flacons vous attendent…

L’ambiance et la décoration ont complètement été revues… marbre vert, laiton, velours bleu, osier, cuir, bois et des cadres reprenant une grande partie des artistes présents cette saison 2017/2018 à la programmation de la Philarmonie sont les matières et les éléments prédominants pour une ambiance cosy.

TEMPO vous accueille pour le petit-déjeuner, le lunch, les pauses de l’après-midi, les afterwork, les dîners, les entractes… mais également pour vos dîners de fin d’année ou vos événements privés en groupe.

Coordonnées
1, Place de l’Europe
L-1499 Luxembourg
Tél.: +352 27990666

info@tempobaroumanger.lu
http://www.tempobaroumanger.lu

Mon petit doigt m’a encore informée que désormais, à la Philarmonie, avant les concerts et à l’entracte, COCOTTES vous restaurera avec une offre de minis sandwiches, pains moelleux, soupes, risotto, bocaux et cakes, élaborés à base de produits frais et locaux.

Il n’y a plus qu’à tester non? ;o)

Miele Cooking Studio

Chose promise, chose due.

Je vous ai annoncé sur ma page Facebook que j’avais la chance hier de pouvoir participer à un Workshop culinaire dont le thème était la cuisine vapeur chez Miele à Luxembourg, tout ça grâce une fois de plus à ma participation au Blog Award 2017 organisé par le magazine Kachen.

D’ailleurs, si vous ne l’avez pas encore fait, vous pouvez encore aller voter pour mon blog jusqu’au 30 septembre inclus ici -> Blog Award 2017 – Kachen Luxembourg Food and Lifestyle Magazine. Après il sera trop tard, car la soirée de gala où les gagnants seront annoncés est prévue le 25 octobre prochain.

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Mais revenons vite à nos moutons. Savez-vous depuis quand existe la cuisine vapeur?

Comme moi, à part si vous le savez et que vous êtes déjà adepte de la cuisine vapeur, vous allez sans doute répondre depuis des années, voire des siècles, mais sans pouvoir préciser vraiment une époque.

Et bien, la cuisson vapeur est une tradition millénaire, originaire de Chine où l’on utilisait des récipients à double paroi dans lesquels les aliments étaient cuits séparément des liquides.

Ce n’est qu’après l’invention de la marmite de Papin (ancêtre de la cocotte pression) au XVIIème siècle que l’Europe a commencé à s’intéresser à cette méthode de cuisson permettant de réduire considérablement les temps de cuisson.

Ce n’est que dans les années 50-60 que la France a adopté la célèbre « cocotte-minute » grâce à laquelle les familles modernes ont enfin pu préparer des plats savoureux et sains en un minimum de temps.

Au cours des années 70, les professionnels de la gastronomie mirent au point des appareils pour cuisson à la vapeur puis ce n’est qu’au début des années 80 que ces appareils ont été mis à la disposition des particuliers.

Aujourd’hui, les cocottes-minute laissent la place aux solutions intégrables plus adaptées à notre époque et facilitent considérablement la cuisson à la vapeur grâce aux commandes électroniques et à des températures de 40° C à 100°C (voire jusqu’à 120°C pour les fours vapeur à pression).

Lors de notre atelier culinaire, Valérie Mairesse, conseillère culinaire chez Miele, nous a donc proposé de réaliser plusieurs recettes dans des fours à vapeur.

Au menu, il y avait la confection d’une crème veloutée de Butternut et ses croûtons à l’ail, un risotto accompagné de sa poêlée de champignons et d’un filet de porc cuit sous vide à basse température et pour le dessert, un fondant au chocolat et sa crème anglaise.

Je suis sûre que jamais vous n’auriez pu imaginer (tout comme moi d’ailleurs) qu’on pouvait préparer tout ça dans des fours vapeurs, sans rien devoir surveiller ou touiller….

D’ailleurs, connaissez-vous les avantages de la cuisson vapeur?

  • une cuisine saine donc bonne pour la santé. Les vitamines et sels minéraux étant conservés grâce à ce mode de cuisson, il n’y a plus besoin (ou quasiment pas besoin) de sel, de graisse ou d’exhausteur de goût;
  • les aliments ne trempant pas dans le liquide, il n’y a donc aucune perte de goût et vous êtes certain(e)s que votre cuisson sera effectuée à la température parfaite sans risquer de brûler vos aliments ou de les sur-cuire;
  • tous les aliments gardent leur couleur. La vapeur refoulant l’oxygène, les aliments ne s’oxydent pas;
  • un autre avantage, et pas des moindre, c’est que vous n’avez plus besoin d’autant de casseroles que de recettes que vous allez réaliser, donc peu de vaisselle, rien ne déborde, tous les accessoires dont vous avez besoin se lavent facilement et/ou vont au lave-vaisselle. Du fait de la vapeur, les fours sont aussi très faciles d’entretien, ce qui n’est pas négligeable non plus;
  • enfin le dernier avantage, comme vous avez pu le constater avec le menu que nous avons réalisé, c’est que la cuisson vapeur n’est pas seulement réservée aux légumes et aux poissons, mais elle permet aussi l’élaboration de véritables menus.

Dans ce type de fours à vapeur, il est possible de cuire, blanchir, décongeler, réchauffer, faire des conserves, stériliser, extraire du jus, faire lever des pâtes (pain, brioche….)…

On peut y préparer des légumes, du poisson, du pain 100% mie (sans croûtes), des pâtes fraîches ou sèches, du riz, des céréales, de la viande, des soufflés, des desserts… (si, si, je vous l’assure je l’ai vu de mes propres yeux puisqu’on a préparé un fondant au chocolat et une crème anglaise), des confitures, des terrines et tellement d’autres choses encore….

Mais Miele ne s’arrête pas là et vient de révolutionner le monde de la cuisine avec une nouvelle technique de cuisson à base d’ondes électromagnétiques et son nouveau four Dialog. Si vous voulez en savoir plus concernant cette nouvelle technique de cuisson révolutionnaire, je vous invite à aller lire cet article intéressant ici ->https://miele.oserieux.be/miele-revolutionne-le-monde-de-la-cuisine-et-lance-une-nouvelle-technique#

Si tout comme moi vous souhaitez découvrir les modes de cuisson à la vapeur, vous pouvez retrouver tous les cours organisés au Cooking studio de Miele à Luxembourg-Gasperich sur leur site web http://www.miele.lu/sessions de cuisson

Cuisiniers en herbe, débutants ou confirmés, simples curieux, désireux de découvrir un mode de cuisine sain, n’hésitez surtout pas à vous inscrire, car ces cours de cuisine ont lieu dans un très bel espace dédié à la cuisine et à la dégustation et sont dispensés par une conseillère culinaire, qui de par sa personnalité, les rend très conviviaux.

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Prochainement je publierai aussi les recettes que nous avons réalisées car je suis certaine qu’elles intéresseront quelques-un(e)s d’entre vous!

La cuisson vapeur, l’essayer, c’est l’adopter… si on me l’avait dit, je ne l’aurais jamais cru…

Les macarons

Les macarons…. qu’en dire.. soit on aime, soit on n’aime pas… Il y en a qui tueraient père et mère pour en manger, voire qui les mangeraient sur la tête d’un pouilleux pour utiliser quelques belles expressions imagées de la langue française…

En ce qui me concerne, ce n’est pas ce que je préfère manger car je trouve qu’on en est vite « écoeuré ». Ce sont des petites choses qu’on se doit de déguster en prenant son temps et pas à avaler les uns derrière les autres si on ne veut pas faire exploser son quota journalier de calories.

Pour certains, le plus difficile c’est d’y résister… pour d’autres, le plus compliqué, ce n’est pas tant de les faire, c’est de les réussir. Et le secret pour les réussir, c’est tout simplement d’avoir un bon four. Je vous rassure, pour celles et ceux qui ont déjà essayé et abandonné à cause de nombreux ratés, les fours ménagers, ceux qu’on trouve dans nos cuisines, ne sont pas vraiment les meilleurs pour réussir de beaux macarons hélas. Ils y craquent, ils s’y déforment, ils ne font pas de belles collerettes, une fois ça marche, la fois d’après ça rate et allez savoir pourquoi, donc ça vous décourage et vous arrêtez d’en faire.

Mais ce n’est pas parce que vos coques ne sont pas lisses ou biens brillantes que vos macarons seront mauvais. Si vous les aimez, même craqués ou déformés, ils seront bons et vous vous régalerez. Après tout, la perfection n’existe pas en ce bas monde. Le principal est de se faire plaisir, non?

Si vous voulez vous y frotter, voici la recette pour réaliser vos coques.

Ingrédients pour au moins 70 coques (35 macarons)

300g de sucre glace
300g de poudre d’amande
110g de blanc d’oeufs

pour la meringue italienne
110g de blanc d’oeufs
300g de sucre semoule
110g d’eau

Dans un robot, bien mixer la poudre d’amande et le sucre glace ensemble afin que le tout soit le plus fin possible. Ceci vous aidera à avoir des coques lisses, mais cette étape n’est pas obligatoire.

Une fois vos poudres bien mixées, débarrassez-les dans un cul de poule assez grand et ajoutez-y les blancs d’oeufs, puis laissez en attente sans mélanger.

Ensuite, pour réaliser la meringue italienne, mettez le sucre et l’eau dans une casserole et portez le tout à 121°.

Mettre vos blancs d’oeufs dans un batteur.

Dès que la température du sirop (sucre et eau) atteint 116° commencez à battre les blancs d’oeufs à pleine puissance.

Quand votre sirop atteint les 121°, diminuer la vitesse du batteur et venir verser tout doucement le sirop sur les blancs d’oeufs en essayant d’éviter d’en mettre sur le fouet ou sur les bords du bol (il faut bien viser mdrrrrrrrrrrrrrrrrr) et puis remettre la pleine puissance et battre pendant quelques minutes jusqu’à obtention d’une belle meringue bien brillante.

Nous voilà arrivés à l’étape dite du « macaronage »… Il va donc falloir maintenant venir mélanger votre belle meringue au mélange de poudre d’amande, sucre et blancs d’oeufs crus.

Après le sirop à verser sur les blancs sans toucher le fouet ou le bol, c’est la deuxième étape la plus « compliquée », voire la primordiale pour la réussite de vos macarons.

Avec une corne (outil indispensable à avoir dans sa cuisine quand on veut bien pâtisser) ou une maryse si vous n’avez pas de corne, récupérez votre meringue et disposez-la sur les poudres. Plongez votre corne dans le fond du cul de poule et ramenez la poudre dans la meringue en faisant toujours le même mouvement en partant du fond du cul de poule et en remontant la poudre vers le haut et en rabattant jusqu’à ce que toute la poudre soit bien incorporée à la meringue et que le mélange soit bien brillant.

Ensuite, placer la meringue dans une poche à douille et pocher sur des plaques de cuisson que vous aurez recouvertes au préalable avec du papier cuisson (sulfurisé) en prenant bien soin de bien espacer les coques car elles vont s’étendre.

Petites astuces au passage

  • toujours utiliser des blancs d’oeufs clarifiés (càd séparés du jaune) depuis au moins 48h, sortis du frigo et placés à température ambiante quelques heures avant leur utilisation ou bien utiliser des blancs d’oeufs en brique
  • pour éviter que les feuilles de cuisson ne s’envolent dans le four, les coller en déposant un peu de meringue sur la plaque et y placer le papier dessus
  • pour faire disparaître les bulles d’air de vos coques pochées, taper les plaques sur une table puis tapoter sous la plaque avec votre main. De cette façon vos coques s’étalent bien uniformément et en faisant disparaître les bulles d’air, les coques risquent moins de craquer à la cuisson
  • si vous voulez des coques colorées, ajoutez uniquement des colorants en poudre dans les poudres sèches (poudre d’amande et sucre glace) car les macarons n’aiment pas l’humidité qui est aussi un facteur qui peut faire craquer les coques à la cuisson.

Il ne vous reste plus qu’à placer vos macarons dans un four préchauffé à 150° sans chaleur tournante pendant 9 à 12 minutes.

Les laisser refroidir et les fourrer de vos ganaches préférées. Attendre au moins 24h avant de les déguster. Sinon, les macarons se conservent très bien au congélateur.

 

Le Royal – Hôtel & Resorts – Luxembourg

Comme vous le savez, en tous cas pour ceux qui me suivent depuis un moment, dans le cadre du Kachen Blog Award 2017 Blog Award 2017 – Kachen Luxembourg Food and Lifestyle Magazine, le magazine Kachen nous invite régulièrement chez ses partenaires afin de nous les présenter.

Le 7 septembre, tous les participants au Blog Award ont à nouveau été conviés, cette fois, à l’Hôtel Le Royal à Luxembourg pour un Tea time suivi d’une visite de l’hôtel. Pauline de Paulina on the road – Travel Blog, Jeia de mypickedfood.lu – Rezepte und mehr, Valentina de F4OD, Lydia de Le Blog de Lydia ainsi que Frédérique de Fredkeandfriends, tout comme moi, ont répondu à l’invitation.

Dès notre arrivée, nous avons été dirigées vers le Restaurant Amélys.

Fraîchement rénové, ce restaurant est la toute nouvelle adresse du centre ville de Luxembourg où l’on peut déguster une cuisine traditionnelle dans un cadre somptueux. Du petit déjeuner « Buffet Royal », au déjeuner puis au dîner, un choix de mets divers, variés et de qualité comblera forcément toutes vos envies.

Le restaurant vous proposera tous les jours une cuisine gastronomique traditionnelle française et des spécialités luxembourgeoises. D’ailleurs, au cours de l’année de lancement de ce très beau restaurant, c’est Bibi Wintersdorf https://www.justb.lu/, qui se trouve être aussi la rédactrice en chef du magazine Kachen, qui signait les plats des spécialités luxembourgeoises.

Cerise sur le gâteau s’il en faut, le restaurant dispose d’une magnifique terrasse calme et fleurie en été et propose également tous les dimanches un brunch sous forme de buffet à ne surtout pas rater, à partir de 12h30.

Pour le Tea time, un magnifique buffet de pâtisseries réalisées par le chef pâtissier Lionel Marchand, plus belles les unes que les autres, nous attendait. Quel régal, tant pour les yeux que pour le palais!!! Vous jugerez par vous-mêmes, en tous cas pour la beauté des pâtisseries :o)

L’hôtel Le Royal Luxembourg http://www.leroyalluxembourg.com/fr/thecomplex.asp  renommé pour offrir à ses clients un service attentif et personnalisé au travers de ses Concierges aux Clef d’Or, ses voituriers et bagagistes entre autres,  est sans doute le seul hôtel 5 étoiles du centre ville de Luxembourg et membre des Leading Hotels of the World.

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170 chambres viennent tout juste d’être rénovées ainsi que le Piano Bar au design contemporain sublimé par des ambiances lumineuses et musicales uniques et le restaurant Amélys dont je vous parle ci-dessus.

Un Club Santé qui propose des soins de qualité, une salle de fitness ainsi qu’une piscine couverte, la navette vers l’aéroport, un parking couvert et une charmante boutique viennent compléter les services proposés par l’Hôtel et en font une adresse vraiment idéale tant pour les hommes d’affaires que pour les touristes. A quelques pas du centre financier, l’hôtel est également très proche des centres d’intérêt culturels et historiques de la ville.

Un magnifique établissement à tous points de vues qui mérite le détour si vous passez un jour par Luxembourg.

Crème pâtissière

L’autre jour je vous ai donné la recette de ma génoise au citron vert. Aujourd’hui, je vous donne celle de la crème pâtissière que je fais très souvent pour par exemple fourrer mes choux, mes éclairs, mes génoises ou encore mes chinois ou mes mille feuilles.

Voici la liste des ingrédients nécessaires :

1L de lait demi-écrémé
250g de sucre
100g de farine (que je remplace par de la poudre à flan de chez impérial)
6 jaunes d’oeufs
2 oeufs entiers
1 gousse de vanille

Verser le litre de lait dans une grande casserole et y ajouter la gousse de vanille que vous aurez fendue en deux au préalable plus les graines que vous aurez grattées.

Oeufs blanchis

Dans un cul de poule, à l’aide d’un fouet (électrique ou à l’huile de coude) mélanger le sucre, les jaunes d’oeufs et les oeufs entiers pendant quelques minutes (attention à ne jamais laisser trop longtemps les oeufs et le sucre en contact sans les mélanger car le sucre fait « cuire » (coaguler) les jaunes d’oeufs). Cette étape s’appelle blanchir les oeufs.

Une fois les oeufs blanchis y ajouter soit la farine, soit la poudre à flan.

Pendant ce temps là, porter le lait avec la gousse de vanille et ses graines à ébullition.

Dès que ça bout, verser la moitié du lait sur les oeufs blanchis et fouetter vigoureusement (et oui, il faudrait presque 3 mains pour faire de la pâtisserie mdrrrrrrrrrrr) puis tout reverser dans la casserole et cuire pendant 5 minutes au moins, ou en tous cas, jusqu’à ce que votre crème fasse « blop » (petit bouillon) sans jamais cesser de remuer et en faisant attention que la crème n’attache pas au fond de la casserole.

Verser dans un grand plat et filmer au contact pour que votre crème ne « croûte » pas en refroidissant.
Une autre méthode consiste aussi à parsemer des noix de beurre sur sa surface.

Une fois votre crème bien refroidie, utilisez-la comme bon vous semble et régalez-vous.

 

Génoise facile au citron vert

Aujourd’hui je vous propose une super recette de génoise au citron vert qui accompagnera tous vos gâteaux aux fruits.

Je l’utilise à chaque fois que je fais mon tutti frutti.

Avant de vous donner la recette complète de mon tutti frutti (je l’ai dans la tête et dois encore prendre le temps de la rédiger et surtout vous la décrire dans le bon ordre), voici déjà ce qu’il vous faut pour réaliser sa base.

 

Ingrédients

250g de sucre
200g de farine
4 œufs
1 sachet de levure chimique
1 citron vert

Réalisation

Râper finement le zeste de citron vert

Mélanger la farine avec la levure et le zeste de citron vert et réserver

Dans le batteur, mettre les œufs et le sucre puis faire tourner pendant environ 5 minutes jusqu’à ce que l’appareil double de volume

Ajouter ensuite le mélange farine levure zestes de citron vert et laisser tourner encore 1 minute

Verser dans un moule à manqué (beurré et fariné à bord haut si vous utilisez un moule à manqué autre qu’en silicone sans oublier de mettre un disque de papier cuisson au fond de celui-ci pour faciliter le démoulage)

Faire cuire 30 minutes à 175° (ne surtout pas ouvrir le four pendant la cuisson)

Démouler et laisser refroidir.

L’idéal est de la préparer la veille pour que les arômes de citron vert s’imprègnent bien dans le biscuit.

Gâteau super fondant light au chocolat

J’ai repéré cette recette sur différents blogs et vu que mon petit mari doit surveiller son taux de sucre, vous me connaissez,  je me suis dit que j’allais l’essayer.

Bien que la Stevia remplace le sucre, j’ai trouvé le premier essai un peu trop sucré à mon goût. J’ai donc recommencé en diminuant un peu le sucre et ai utilisé un chocolat noir à 70% au lieu de 54%.

Par contre, quand je dis que ce gâteau au chocolat est super fondant et light, il l’est vraiment… pas de beurre, pas de sucre, pas de farine, pas de lait.. qui dit mieux? On pourrait presque en manger sans fin (faim)…

Je ne vous fais pas attendre plus longtemps, voici la recette.

Temps préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 35-40 minutes

Pour un gâteau de 6-8 personnes il vous faut :

200g de chocolat noir à 70% (de la marque Poulain à cuisiner)
200g de courgette (épluchée, épépinée et râpée)
4 œufs entiers

30g de stévia (au lieu des 40g préconisés dans les autres recettes)
1 càs d’extrait de vanille liquide (ou bien utiliser de la stévia à la vanille… oui oui ça existe)
30g de maïzena
20g de cacao non sucré (genre Van Houten)

 

Réalisation

Commencer par préchauffer le four à 180°

Faire fondre le chocolat en morceaux ou bien les pistoles durant 1 minute au micro-ondes, mélanger au bout d’1 minute et remettre 1 minute de plus puis remuer pour homogénéiser (perso je préfère le faire fondre au bain marie).

Laver, peler, épépiner et râper finement la courgette.

Séparer les jaunes et les blancs d’œufs.

Mélanger les jaunes avec la stévia et la vanille puis y ajouter le cacao en poudre et la moitié de la courgette râpée.

Incorporer la maïzena et le chocolat fondu, puis ajouter le reste de courgette.

Monter les blancs en neige et les mélanger avec délicatesse dans la préparation.

Verser dans un moule à manqué (20 cm) beurré (là ça devient tout de suite moins light) ou dans un moule en silicone (type demarle) pour rester dans le total light puis enfourner pour 35-40 minutes selon votre four.

Démouler à la sortie du four.

Il est possible de le glacer avec un peu de chocolat fondu, mais pour moi il se suffit à lui-même… trop de chocolat tue le chocolat…

Si vous ne dites à personne qu’il est à base de courgettes, personne ne s’en rendra compte. Par contre si vous avouez, personne ne vous croira mdrrrrrrrrrrrrrrrrrr