Mes assistants culinaires

Sur ma page FB https://www.facebook.com/claudiavousregale/?ref=bookmarks  je vous ai dit récemment que j’allais vous faire un petit article sur les assistants culinaires que j’ai dans ma cuisine et dont je ne pourrais plus me passer.

Je vous rassure tout de suite, le but de cet article n’est pas de faire de la publicité ou bien de vous vendre l’un ou l’autre de ces appareils, mais juste de vous expliquer avec quoi je travaille au quotidien dans ma cuisine.

Bien évidemment, je ne me suis pas séparée pour autant de mes casseroles et autres marmites ou cocottes dans lesquelles j’ai un énorme plaisir à cuisiner quand j’ai plus de temps car il faut bien l’avouer, les plats mijotés dans les vieilles marmites restent quand même les meilleurs.

Le Cookéo connected de Moulinex

Cet appareil est un véritable assistant culinaire qui vous aide à préparer tous les jours, vite et bien, tous vos plats de l’entrée au dessert en quelques clics. Ses recettes s’adaptent au nombre d’invités, il vous guide en pas à pas et cuit vos plats sans surveillance. Il suffit de se laisser guider.

Il contient :

4 menus interactifs
100 recettes et 90 ingrédients programmés
75 recettes prêtes en moins de 11 minutes
5 modes de cuisson
des recettes pour 2, 4 ou 6 personnes
une application dédiée : MonCookeo
calcul du temps de cuisson et de la quantité d’ingrédients
cuisson sans surveillance

Grâce à ses différents modes de cuisson possibles, j’y ai déjà adapté certaines vieilles recettes que j’avais pour habitude de faire dans mes casseroles comme celle du Jambalaya et celle de la Touffaye (vieille recette gaumaise), pour ne citer qu’elles. Le Cookéo est aussi idéal pour cuire vos plats à la vapeur et pour avoir des pommes de terre cuites à point en moins de 10 minutes, toujours à la vapeur. C’est le cadeau idéal pour un jeune couple qui s’installe et qui balbutie en cuisine grâce à toutes les recettes qui sont enregistrées dans la version connectée. Ce qui ne gâche rien c’est que son prix est aussi abordable.

 

Le i-Cook’in de chez Demarle

Mon autre meilleur ami qui a lui aussi sa place dans ma cuisine depuis quelques années maintenant est mon i-Cook’in de chez Demarle. Contrairement au Cookéo de Moulinex on ne le trouve pas dans les magasins car il est uniquement disponible via la vente à domicile au cours d’ateliers culinaire.

Comme son nom l’indique ou en tous cas le fait sous-entendre, il est lui aussi connecté. D’ailleurs grâce à sa connexion au Club Guy Demarle, il permet de retrouver une multitude de recettes pour tous les jours mais aussi pour les grandes occasions et permet donc de faire le plein d’idées pour vos événements.

Il a plus de 10 fonctionnalités permettant par exemple de cuire à l’eau (oignons, échalottes, poireaux…), de cuire à la vapeur (viandes, légumes, poissons….), de mijoter (viandes, légumes, …), de chauffer, faire revenir ou colorer (légumes, etc…), de fouetter, émulsionner (mayonnaise, œufs, sauces, crèmes…), de pétrir (pains, brioches, pâtes feuilletées, pâte à choux…), de peser (tous les ingrédients grâce à sa balance intégrée), de hacher, couper en morceaux (viandes, poissons, légumes…) et finalement de mixer grâce à ses couteaux (fruits, légumes, glaces…)

Lui, je l’utilise principalement pour la « boulange », la pâtisserie et les potages rapides. J’y pétris mes pâtes à pain, brioches…, j’y fais ma pâte à choux et même des sorbets de fruits en été. Son plus est qu’il est complet et qu’il permet une cuisson en étage avec son panier vapeur qui vient se fixer au-dessus de son bol.

Par contre, niveau prix, bien que Demarle fasse des facilités de paiements en plusieurs fois sans frais, il reste assez cher si c’est pour l’abandonner sur son plan de travail. C’est un achat à bien réfléchir.

 

Mon robot Kenwood

Et enfin, je termine par mon indispensable, celui dont je ne pourrais ABSOLUMENT pas me passer, c’est mon robot pâtissier Kenwood dans lequel je monte mes blancs en neige, je réalise mes meilleures crèmes fouettées, je macaronne… c’est vraiment celui dont j’ai besoin pour réaliser toutes mes pâtisseries, entremets, bûches de Noël, gâteaux d’anniversaire…

D’ailleurs, il n’est plus tout jeune, un peu comme moi (mdrrrrrrrrrrrrrrrr…..) et j’espère qu’il ne va pas me lâcher de si tôt sinon je serais très malheureuse bien que certains de ses concurrents me fassent déjà un peu de l’œil…. Mais bon, il faut savoir rester un peu raisonnable, non ?

 

Voilà, j’espère que je ne vous ai pas barbé avec mon article et comme d’habitude, j’attends vos commentaires, critiques, questions ou autres ;o)

Gâteau moelleux aux mirabelles

Je vous ai présenté il y a quelques temps la recette de mon gâteau moelleux à la rhubarbe qui a d’ailleurs fait l’unanimité auprès de toutes les personnes qui l’ont goûté.

Du coup, comme j’ai encore pas mal de mirabelles mais pas assez pour faire des confitures, pour changer de la traditionnelle tarte aux mirabelles, je me suis dit pourquoi ne pas adapter la recette du gâteau à la rhubarbe à celle d’un gâteau aux mirabelles.

Il n’y a donc quasiment rien qui change dans la recette hormis le fait que j’ai ajouté de l’eau de vie à la mirabelle dans ma pâte à gâteau.

Je vous redonne donc ici la recette.

Ingrédients

500 à 600g de mirabelles dénoyautées
75g de beurre demi-sel
120g de sucre

Pour la pâte à gâteau :

100g de beurre
150g de sucre de canne
3 oeufs
250g de farine T45
100g de lait
1 sachet de levure chimique
1 gousse de vanille
3 càs d’eau de vie de mirabelles (facultatif)

Réalisation

Préchauffer le four à 180°

Laver, dénoyauter et découper les mirabelles en quatre puis réserver.

Dans un moule à manqué, disposer les 75g de beurre demi-sel et le sucre puis passer au four pendant 12 minutes.

Pendant ce temps,  mettre les 100g de beurre dans un saladier et passer au micro-ondes pendant 25sec pour ramollir le beurre. Pour éviter cette étape, pensez à sortir votre beurre du frigo à l’avance pour le travailler plus facilement en pommade.

Au bout de 12 minutes, sortir le moule du four et venir y disposer les quartiers de mirabelles et bien les répartir.

Reprendre le beurre qu’on a passé au micro-ondes ou qu’on a bien sorti à l’avance et y ajouter le sucre de canne.

Bien travailler le mélange et y incorporer les oeufs, un par un, en fouettant bien pour obtenir une pâte homogène et légère.

Ajouter la farine et la levure chimique au mélange, commencer à bien les incorporer à la pâte et ajouter le lait quand ça devient trop dur à travailler et bien mélanger.

Enfin, ajouter les graines de vanille que vous aurez obtenues après avoir fendu en deux la gousse de vanille à la pâte et l’eau de vie (facultatif).

Une fois la pâte bien homogène, venir la verser et bien la répartir sur toutes les mirabelles dans le moule à manqué à l’aide d’une maryse et enfourner le gâteau pendant 45 minutes à 180°

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A la sortie du four, attendre quelques minutes puis démouler.

Vous n’avez plu qu’à faire goûter votre gâteau tout moelleux et goûteux à votre entourage accompagné d’un bon café ou d’un bon thé.

Confiture de mûres

L’été, c’est la saison de l’amour… oupsss de la mûre mdrrrrrrrrr

Bon, il faut bien se l’avouer, la météo ce mois d’août 2017 n’est pas très clémente avec nous. Heureusement, la nature, elle, est bien généreuse et nous permet de nous occuper en faisant entre autres des confitures vu qu’une fois de plus, c’est férié et il pleut…

Mon petit mari m’a ramené un peu plus de 500g de belles mûres ce matin de chez sa maman. Pour éviter qu’elles ne se perdent j’ai décidé d’en faire de la confiture.

Voici la recette que j’ai réalisée pour deux pots de 500g de confiture.

Ingrédients

500g de mûres
500g de sucre gélifiant
1 jus de citron

Réalisation

Nettoyer les mûres en les passant sous l’eau et presser un jus de citron.

Mélanger les mûres, le jus de citron et le sucre dans la bassine à confiture.

Mettre le tout sur le feu et porter à ébullition.

Dès que ma confiture bout, je réduis un peu le feu sous la bassine à confiture afin de garder un petit bouillon et je poursuis la cuisson de mes fruits pendant encore 7 minutes. Si vous utilisez du sucre semoule ou cristallisé il vous faudra cuire votre confiture un peu plus longtemps. Environ 15 à 20 minutes après ébullition.

2 à 3 minutes avant la fin de la cuisson de la confiture, commencer à écraser les fruits avec une écumoire.

Enfin c’est prêt à mettre en pots !

Comme pour les autres confitures, remplir les pots, les fermer et les retourner jusqu’à refroidissement.

 

Si vous avez des doutes quant à votre temps de cuisson, vérifiez la cuisson en versant quelques gouttes sur une assiette froide puis penchez l’assiette. La confiture doit couler lentement car elle commence à figer.

Confiture de mirabelles

Gorgée de soleil et bien mûre, la mirabelle est le fruit en or de l’été en Lorraine avec lequel il est possible de réaliser tout un tas de recettes sucrées et salées, meilleures les unes que les autres.

Bien souvent, quand on parle de mirabelles, on pense immédiatement à la fameuse tarte aux mirabelles. Certes, un vrai régal, mais à manger tout de suite.

Par contre, si on veut pouvoir en profiter un maximum, l’idéal est de pouvoir en faire des confitures. Un pur plaisir à déguster au petit-déjeuner et/ou au moment du goûter.

Voici ma recette, allégée en sucre par rapport aux recettes traditionnelles. Je la fais tout le temps comme cela et elle se conserve très bien malgré le fait qu’elle contienne moins de sucre qui aide à sa longue conservation.

Pour à peu près 3 pots de confiture de 500g, il vous faudra :

1kg de mirabelles dénoyautées
500g de sucre semoule
1 jus de citron

Réalisation

Laver soigneusement les mirabelles puis les dénoyauter.

Les placer dans un saladier avec le sucre et le jus de citron. Bien mélanger, couvrir avec du film étirable et laisser macérer toute une nuit à température ambiante.

Le lendemain, transvaser les fruits macérés dans la bassine à confiture et faire cuire à petit bouillon pendant 40 minutes en remuant de temps en temps.

Après ce temps, si vous aimez les morceaux de fruits dans la confiture, elle est prête à être mise en pots. Chez nous, on aime pas trop les morceaux, donc je donne un coup de mixeur plongeant en faisant bien attention de ne pas éclabousser, puis je verse ma confiture mixée tout de suite dans mes pots, les ferme et les retourne jusqu’à total refroidissement.

 

 

Tarte à la mirabelle

La vedette de l’été en Lorraine, tout le monde le sait et l’attend avec impatience, c’est la mirabelle. Dorée et pleine de saveurs, bien mûre et gorgée de soleil, on la cueille au mois d’août. C’est vous dire qu’ici en Lorraine, la saison bat actuellement son plein pour le bonheur de tout le monde.

La légende raconte qu’au 15ème siècle, le duc René 1er, revenu de croisade avec quelques mirabelles, les implante autour de Metz. La mirabelle de Lorraine bénéficie d’une Indication Géographique Protégée (IGP) depuis 1996. Un gage de qualité qui fait d’elle le premier fruit français labellisé.

Il faut savoir que 75% de la production mondiale provient des vergers des 250 arboriculteurs lorrains.

Aussi délicieuse à croquer qu’à cuisiner, quand on est gourmand on la savoure fraîche au pied de l’arbre. Sinon, transformée en confiture, confiserie, biscuits, pâtisseries, nectar, sirop, thé ou en liqueur et eau de vie, elle peut aussi très bien être congelée. Elle se décline de mille façons aussi bien en version salée que sucrée.

Je vous propose ici une version de ma recette de tarte à la mirabelle, on ne peut plus simple et qui vous régalera les papilles ainsi que celles de vos convives.

 

Ingrédients

1 pâte sablée (soit maison, soit du commerce

+/- 900g de mirabelles
1 œuf
3 cuillères à soupe de sucre
15cl de crème fraîche entière liquide

Réalisation

Commencer par laver soigneusement les mirabelles, les couper en 4 pour avoir de belles pointes et retirer les noyaux.

Préchauffer le four à 200°

Etaler (si elle est faite maison) ou dérouler la pâte sur un plan de travail et la piquer.

Foncer votre pâte sablée dans un moule à tarte ou bien un cercle beurré.

Parsemer un sachet de sucre vanillé sur le fond de tarte en veillant à le répartir de façon homogène, puis parsemer également un peu de farine (cette étape aide à absorber le liquide des fruits et évite que la pâte ne se détrempe).

Tarte à la mirabelle

 

Disposer les mirabelles bien serrées sur la pâte et faire cuire pendant 20 minutes.

Pendant ce temps-là, fouetter l’œuf, le sucre et la crème fraîche dans un bol et verser la préparation sur la tarte au bout des 20 minutes, puis remettre au four pendant une quinzaine de minutes.

Laisser refroidir avant de démouler et ensuite vous n’avez plus qu’à déguster.

 

Villeroy & Boch… d’autres belles photos

Hello tout le monde,

Me revoilà avec d’autres belles photos qui ont été prises par le photographe professionnel officiel du magazine Kachen.lu http://kachen.lu/ qu’il nous a gentiment transmises afin que nous puissions les utiliser pour nos fins personnelles.

Je ne pouvais donc pas les garder uniquement pour moi et vous refais donc ici un petit article en passant dans lequel je vous en fais profiter.

Vous y découvrirez les alentours du musée, les blogueurs qui étaient présents lors de cette excursion découverte tout au long de la visite du musée, les créations Villeroy & Boch exposées dans le musée, nos guides, le Château de Saarek et ses extérieurs….

Galerie de photos

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Voilà, c’était rapide et j’espère à nouveau vous avoir donné envie d’aller visiter ce joli musée et sa région.

J’en profite pour remercier à nouveau Kachen Magazin et Villeroy & Boch pour cette belle découverte.

Villeroy & Boch

Ce vendredi 4 août, de nouveau grâce au magazine culinaire luxembourgeois Kachen, organisateur du 1er blog award à Luxembourg, j’ai encore eu la chance de passer une superbe journée de découvertes en compagnie d’autres blogueurs.

Je ne sais pas en ce qui vous concerne, mais je me dis que parfois on cherche à aller loin pour voir ou découvrir de belles choses alors que bien souvent il y en a tout près de chez nous et on l’ignore.

En effet, à ma grande et très agréable surprise, a à peine un peu plus d’une heure de chez moi, j’ai pu découvrir une très belle région touristique juste derrière la frontière française et luxembourgeoise, et plus particulièrement la petite ville de Mettlach, commune allemande du Land de Sarre où se trouve le siège de la faïencerie internationalement connue et renommée, Villeroy & Boch situé 1-3 Saaruferstrasse, Alte Abtei.

 

 

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Derrière la façade de cette ancienne abbaye bénédictine se trouvent 260 ans d’histoire de la céramique qui retrace le parcours et la réussite d’une dynastie familiale et vous présente des siècles de tradition de la céramique et des idées tournées vers le futur sur le thème « Vivre et Habiter ».

Si vous voulez découvrir l’histoire de Villeroy & Boch en détail, allez vite voir les informations que vous trouverez sous ce lien pour en apprendre plus sur ses créateurs (https://www.villeroyboch-group.com/fr/entreprise/notre-histoire/lhistorique.html)

Quant à nous, au cours de notre visite du musée, nous avons eu accès au « Keravision », qui au travers d’un film d’une vingtaine de minutes que nous avons pu visionner, fait le lien entre les 260 ans d’histoire de la société et l’exposition de la palette actuelle des produits.

 

Dès l’entrée du musée on peut constater que l’alliance de la tradition et de la modernité joue un rôle moteur essentiel chez Villeroy & Boch, notamment en termes de création.

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Au fur et à mesure de notre visite dans le musée, nous avons pris plaisir à découvrir l’évolution de l’art de la céramique, de la culture à travers le temps mais aussi les « Arts de la table » en traversant différentes pièces où sont exposées des tables mises en scène avec différents services de vaisselle, plus belles les unes que les autres ainsi que des vaisselles spécialement créées pour, entre autres, des palaces dans le monde et l’Orient Express.

Art de la céramique

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Culture à travers le temps

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Arts de la table

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Créations spéciales pour palaces ou l’Orient express

Enfin, nous avons eu accès à l’un des plus beaux cafés de musée au monde, décoré dans le style de la laiterie de Dresde, recouvert de plus de 15.000 carreaux décorés à la main à partir de pièces originales du 19ème siècle fabriqués pour sa décoration.

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Pour terminer cette jolie découverte en apothéose, nous avons été conviés à déjeuner au château de Saareck.  Pour la petite histoire, c’est le couple de jeunes mariés formé par Adeline von Boch, née Freiin von Liebieg à Reichenberg/Liberec, en Bohême, et Luitwin von Boch, qui en 1901 entreprirent de construire une maison. Ils s’adressèrent au célèbre architecte de Cologne, Ludwig Arntz, qui était également bâtisseur de cathédrales et conservateur de monuments.

Jusqu’à la moitié de la Seconde guerre mondiale, le château fut la résidence principale de la famille. Pendant la guerre, en 1942, Luitwin von Boch transforma le château de Saareck en hôpital militaire, ce qui le protégea de la destruction. Immédiatement après la fin de la guerre, le château fut utilisé par les troupes d’occupation comme bâtiment administratif.

A partir de 1946, de nombreux employés de Villeroy & Boch ainsi que des parents de la famille von Boch, y trouvèrent refuge.

Depuis 1954, le château de Saareck est la résidence hôtelière de Villeroy & Boch et lieu populaire pour les mariages et événements.

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Décoration intérieure du Château

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Notre excellent repas

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Et voilà, notre belle découverte arrive ici à sa fin… j’ai essayé de vous montrer le maximum de ce que nous avons pu voir, mais le choix des photos était difficile car j’en ai fait des dizaines et des dizaines.

La meilleure chose à faire pour vous, et j’espère que je vous en ai donné l’envie à travers cet article, c’est de vous rendre à Mettlach et d’aller y visiter le musée et pour finir, pourquoi ne pas passer dans la boutique Outlet qui se situe à quelques pas du musée et vous faire plaisir en vous offrant un petit souvenir Villeroy & Boch 😉

Des nouvelles de COCOTTES Luxembourg

Hello les ami(e)s,

j’ai un scoop pour vous… vous vous souvenez, je vous ai déjà parlé des boutiques COCOTTES dans un de mes précédents articles… si, si, allez fouiller dans mes articles et vous verrez 😉

Et bien je peux vous dire que dès demain, mardi 1er août à 8h00, une 4ème boutique va ouvrir au Luxembourg et plus précisément au 35A, Avenue J.F. Kennedy L-1855 Luxembourg qui est situé au coeur de la place bancaire et financière, et au sein du Business Center Kirchberg de LOSCH (Bâtiment Banque Havilland).

Si vous avez la flemme d’aller revoir mon précédent article à leur sujet voici un petit rappel de ce que vous pouvez trouver dans les différentes boutiques.

COCOTTES propose ses produits « Fresh & Home-made Food », dans les gammes suivantes :
– Bocaux
– Salades
– Sandwichs / wraps
– Soupes
– Desserts
– Jus frais maison…etc à emporter ou à déguster sur place.

Pour ceux d’entre vous qui ne connaissent pas encore, COCOTTES propose des produits sains, frais, variés et authentiques, du « prêt à manger » de qualité, fabriqué tous les jours dans leurs cuisines à Luxembourg par une équipe de professionnels, qui cuit, transforme, assaisonne des produits frais, de saison…

Pour info, les 3 autres boutiques COCOTTES sont à Luxembourg-Ville :

  • au 3A Rue Beaumont (au Centre-Ville, essentiellement à emporter) et
  • au 5A Rue Jean l’Aveugle (près de la place du Glacis avec un bel espace pour manger sur place) ainsi
  • qu’au 12D, rue Guillaume Kroll à la Cloche d’Or.

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Niveau décoration c’est toujours le style COCOTTES, mais avec quelques détails qui diffèrent ! 😉 Comme je dis toujours, le mieux est de venir sur place pour se faire une idée et découvrir les lieux !

Enfin, pour en terminer et être complètement exhaustive, COCOTTES est également présent avec ses produits chez PALL CENTER Strassen, depuis le 12 juin et va lancer son tout nouveau site internet, plus actuel, plus tendance et plus ergonomique dès demain mardi 1er août. Allez y jeter un oeil si vous voulez découvrir leurs menus et trouver d’autres informations.

Mon petit doigt m’a dit qu’il semblerait qu’une 5ème boutique COCOTTES voit encore le jour cette année… restez donc sur vos gardes 😉

 

 

Cactus Schnékert Hausgemaacht et Bruno Café

Comme vous le savez, mon blog participe au premier Blog Award 2017 http://blogaward.lu/fr/award-2/ organisé par le seul et unique magazine culinaire luxembourgeois, Kachen Magazin http://kachen.lu/

D’ailleurs, j’en profite pour vous dire en passant que je compte sur vous pour aller voter pour mon blog et d’en parler à vos ami(e)s aussi.

Mais revenons à nos moutons… ce midi, en tant que participante au Blog Award, le magazine Kachen nous a convié(e)s chez Cactus l’un de ses nombreux partenaires.

Pour cette occasion, le programme prévu par Kachen Magazine était le suivant :

12:30 – 13:00 Accueil showroom Schnékert avec amuses bouches et soft drinks
13:00 – 13:45 Visite de la production pâtisserie Cactus « Hausgemaacht » et service d’un morceau de dessert
13:45 – 14:15 Visite de la torréfaction « Bruno » et service des cafés

Rendez-vous était donc donné au showroom Schnékert, situé à Windhof (Capellen), à une petite quarantaine kilomètres de chez moi, au Grand-Duché de Luxembourg.

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Frontalière, je connais très bien les enseignes Cactus depuis près de 30 ans et aime beaucoup les produits que l’on peut y trouver. Par contre, je ne connaissais pas du tout « l’envers » du décor et peux vous dire que j’ai été plus qu’agréablement surprise par tout ce que j’ai vu et appris lors de notre visite dans leurs locaux.

Cactus est une entreprise familiale, qui tout comme moi est née en 1967 (une très bonne année non?) Avec plus de 4.000 collaborateurs, en 2017, elle est devenue la deuxième entreprise privée du pays derrière le groupe Arcelor. Elle doit une partie de son succès à ses origines luxembourgeoises et fait donc partie de la culture du pays et de ses habitants ce qui lui permet de bénéficier et d’entretenir des relations étroites avec les producteurs régionaux et locaux pour répondre aux besoins et attentes d’une population de plus en plus diversifiée et internationale résidant au Luxembourg.

Cactus c’est aussi :

Un réseau dense de 47 points de vente répartis sur 45 sites à travers le Luxembourg :

2 Cactus hypermarchés (12 000 m2 – 15 000 m2 / plus de 125 000 références)
11 Cactus supermarchés (2 000 m2 – 5 000 m2 / entre 25 000 et 40 000 références)
8 Cactus marchés (800 m2 – 1 500 m2 / entre
6 000 et 10 000 références)
4 Cactus hobbi (4 000 m2 – 6 000 m2 /  entre
60 000 et 75 000 références

  • 22 Cactus Shoppi (50 m2 – 250 m2 / entre 800 et 1 200 références)

 14 Cactus Restaurants et 6 sandwicheries Cactus fresh

4 ateliers de production

  • Pâtisserie
  • Boucherie/Charcuterie
  • Traiteur « De Schnékert »
  • Torréfaction

La philosophie de Cactus

« Que ce soit dans nos supermarchés, nos restaurants ou ateliers de production, nous cultivons depuis l’an 1900 la même passion pour une offre de qualité au meilleur prix !

 Nëmmen dat Bescht !

 Le bio c’est logique pour nous ! Nous nous engageons à offrir à nos clients les meilleurs produits biologiques pour tous leurs besoins. Sans OGM, sans pesticides, sans engrais chimiques – sans compromis ! Les produits Bio sont vendus chez Cactus depuis 40 ans et plus de 2 500 produits Bio figurent aujourd’hui dans notre assortiment. Cactus dispose également de sa propre marque Bio.

Une conduite basée sur des principes éthiques ! Chez Cactus, nous respectons tout homme et sommes conscients de notre responsabilité sociale en matière de formation des jeunes, d’aide au tiers-monde et de soutien aux plus démunis. Depuis 1993, année d’introduction du café Fairtrade dans notre assortiment, le commerce équitable fait partie intégrante de l’ADN du groupe. Aujourd’hui, nous comptons plus de 130 références issues du commerce équitable. Depuis 2012, toutes nos actions philanthropiques sont réunies et gérées sous la dénomination Cactus Charity.

Nous sommes fiers de notre région ! Nous nous engageons à soutenir l’agriculture régionale en partageant avec nos clients notre passion pour le meilleur de nos fermes, vergers et vignes de la région. La promotion des producteurs régionaux fait partie des principales préoccupations de Cactus. C’est pour cette raison que nous avons créé des logos et labels propres qui garantissent la qualité des produits dans le respect de la nature et des animaux.

Nous produisons des spécialités faites-maisons par conviction ! Nous nous engageons à ne produire dans nos 4 ateliers de production – pâtisserie, torréfaction, charcuterie et traiteur, que des produits de qualité et cela en évitant, dans la mesure du possible, tout produit chimique, additif et conservateur trop souvent utilisés par les multinationales alimentaires.

Cactus, c’est la viande de bœuf de l’éleveur luxembourgeois ! Nous nous engageons à vous offrir le meilleur bœuf de nos pâturages et ce en étroite collaboration avec plus de 160 éleveurs locaux respectant minutieusement un cahier des charges très stricte, dans le respect de l’environnement et de l’animal. C’est pour cela que nous avons créé en 1996, en collaboration avec la Fédération des Herdbooks Luxembourgeois (aujourd’hui Convis), le label « Cactus Rëndfleesch vum Lëtzebuerger Bauer », garant d’une viande de bœuf de qualité supérieure. 

Nous nous engageons pour une meilleure qualité de vie ! Nous nous engageons depuis toujours à respecter par tous nos moyens l’environnement et à favoriser le développement durable. Réserve naturelle Cactus de 55 hectares, vergers Cactus, ruches d’abeilles, énergie solaire, pêche durable et responsable, … sont quelques exemples de nos réalisations concrètes. »

En tous cas, après avoir pu visiter aujourd’hui les ateliers de production de pâtisseries fines, je peux vous certifier que tout cela n’est pas que du blabla et je vous avoue que j’ai été véritablement surprise de constater que toutes les pâtisseries sont faites « main ». Bien entendu, comme dans toutes pâtisseries ou boulangeries il y a des machines pour pétrir les pâtes ou faire des mélanges étant donné les quantités, mais tout le reste est fait main ou passe dans les mains de personnes en charge des différents postes comme par exemple le fonçage des pâtes dans les moules, la disposition des fruits frais (traités, découpés ou taillés à la main) sur les gâteaux ou les tartes ainsi que la réalisation de gâteaux d’anniversaires, ou pas, personnalisés.

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Tout est mis en oeuvre pour n’offrir que le meilleur tant pour les yeux que pour le palais.

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D’ailleurs, 43% des références vendues les magasins Cactus proviennent de la production maison et sont réalisés dans des ateliers qui occupent une surface totale de 5.000m2 dans lesquels une cinquantaine de spécialistes sont quotidiennement au service de la qualité moyennant l’utilisation exclusive de matières premières nobles.

Pour ne citer que ces produits-là, la tarte au fromage et la fabrication du « Bamkuch », spécialité luxembourgeoise, nécessitant un savoir-faire ainsi qu’une connaissance du produit, font partie des meilleures ventes en pâtisserie.

Bien entendu, après la visite des différents ateliers, nous avons pu déguster du gâteau aux fraises ainsi que de la tarte aux quetsches. Quel régal!!!!

Enfin, il était temps d’aller visiter les ateliers de torréfaction Bruno. Pour cela, il suffisait de se laisser guider par la bonne odeur de café qui s’en échappait pour rejoindre les locaux du torréfacteur Bruno qui officie depuis plus de 80 ans et qui est connu et reconnu comme étant le plus grand torréfacteur luxembourgeois avec une production annuelle d’environ 300 tonnes de café.

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Spécialisé dans le café en grains, Bruno Café propose une large gamme de cafés (Bio Fairtrade, Costa Rica, Guatemala, Maragogype, …) tout comme des mélanges classiques (Dessert, Espresso, Décaféiné…)

A réception, le taux d’humidité des sacs de café est contrôlé de façon aléatoire. Si tout est ok, les sacs sont stockés et traités au besoin.

Le premier traitement que les grains de café vont subir, c’est de passer dans une machine qui va « trier » les éventuels déchets et les grains de café.

Ensuite le café peut passer à la torréfaction, dont l’opération dure environ 8 minutes.

Dommage que je ne puisse pas vous faire passer l’odeur du café tout juste torréfié via cet article.

Après ces différentes étapes, il ne reste plus qu’à ensacher le café. Quant à nous, il ne nous restait plus qu’à en déguster une bonne tasse.

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En tous cas, merci à Kachen Magazine d’avoir organisé cette visite pour nous les blogueuses(eurs) et merci à Cactus Schnékert Hausgemaacht et Bruno Café de nous avoir fait découvrir l’envers du décor.

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Gâteau moelleux à la rhubarbe

La saison bat son plein…. c’est donc le moment d’en profiter et de faire de bonnes choses avec la rhubarbe. Certes, elle ne plait pas à tout le monde à cause de son petit goût acidulé, mais c’est si frais d’en consommer en été qu’il ne faut pas s’en priver.

Par contre, tout le monde connaît principalement la traditionnelle tarte à la rhubarbe sur laquelle on rajoute du sucre impalpable, comme on dit en Belgique, aussi autrement appelé sucre glace, en France, pour atténuer l’acidité de la rhubarbe.

Il y a quelques temps, j’avais vu passer sur FB une recette de gâteau à la rhubarbe et je m’étais dit que si je la retrouvais j’allais l’essayer. La recette étant réapparue récemment sur mon fil d’actualité FB à partir du site de http://unjardindansmacuisine.com/gateau-rhubarbe/, ce qui fut dit fut fait et j’ai donc pu tester la recette hier en y apportant quelques modifications, notamment au niveau de la quantité de sucre que je diminue et ma petite touche perso sur la façon de procéder.

Ingrédients

500g de tiges de rhubarbe
75g de beurre demi-sel
120g de sucre

Pour la pâte à gâteau, il vous faudra :

100g de beurre
150g de sucre de canne
3 oeufs
250g de farine T45
100g de lait
1 sachet de levure chimique
1 gousse de vanille

Dans un premier temps, laver et éplucher les tiges de rhubarbe puis les découper en petits tronçons. Les réserver dans un cul de poule, les parsemer de sucre, mélanger et laisser « mariner » au moins 2h au réfrigérateur.

Au bout de ce temps, préchauffer le four à 180° et sortir du frigo les 100g de beurre nécessaires à la préparation de la pâte à gâteau.

Disposer les 120g de sucre et les 75g de beurre demi-sel dans un moule à manqué et enfourner 10 à 12 minutes.

A la sortie du four, récupérer vos tronçons de rhubarbe marinés avec une écumoire pour les égoutter et les déposer dans le moule sur le caramel qui s’est formé.

Ensuite, il ne reste plus qu’à préparer la pâte à gâteau.

Travailler le beurre en crème (d’où la nécessité de le sortir un peu à l’avance afin de le faire ramollir) y ajouter le sucre de canne et bien battre le mélange.

Incorporer les oeufs, un par un, en fouettant bien pour que le mélange soit léger.

Ajouter la farine, la levure chimique, le lait et les graines de vanille toujours en fouettant bien votre appareil (pâte).

Une fois le tout bien incorporé, verser la pâte sur la rhubarbe et enfourner le gâteau pendant 45 minutes à 180°. Si votre gâteau brunit trop, n’hésitez pas à baisser la température de votre four 10 minutes avant la fin de cuisson.

Si vous avez utilisé un moule à manqué en silicone, vous pouvez démouler votre gâteau tout de suite en le retournant sur une grille par contre, si vous avez utilisé un moule à manqué traditionnel, retourner le gâteau sur une grille et attendre qu’il se décolle tout seul au bout de quelques minutes (à cause de la caramélisation).

Bonne dégustation ! Vous verrez, vous ne serez pas déçu(e)s…